(mehdi)Poésie, Mer, Dais (et) Puits de trans-lucidité, effet secondaire de ma silenciosité, lumineuse aphonie bruineuse, souffle, éch'ose, être toponymé, à l'héliotropisme d'une enfance, lointaine épiphanie1…
permane, au monogramme d'un Gué, (se) dé-nommer au Nom, s'Ouïr à l'heure qui tient à l'oeil, pacotille précieuse.
[La colonisation est] une négation systématisée de l’autre, une décision forcenée de refuser à l’autre tout attribut d’humanité, Les Damnés de la terre (61) Nous ne sommes rien sur terre si nous ne sommes les [serviteurs] d’une cause, celle des peuples et celle de la justice et de la liberté, lettre à R.T. (61) Frantz Fanon, l’impossible oublié. E’M.C.
Assez d’Algênéralat dégainant rengaine! Toute l’Algérie s’épouille de ce pou[X]voir corrompu qui lui rabâche naufrage [Tout] le peuple s’avance évinçant tous les partis, les séparatistes, les «Je Suis» ceci-cela aux vexilles dispersives qui se suintent dessus - les allumés, les bigots & les fausses avant-gardes existenciées d’islamisme- C’est l’Histoire en Chair L’HISTOIR’ALGÉRIE au monde. E’M.C.
Sergent Garcia durant 15 ans ne peut être 1 Zorro en 1 jour clame un slogan libérateur lors du Hirak de millions d’Algérien-ne-s pour une réelle indépendance de l’Algérie - Puis Un général ne se rend jamais, même pas à l’évidence, enchérit-on, femmes vives - NA! mon général guilloche l’enfant de son souris immense esquisse solaire de relève infinie au chaos du galon dépendant du galion-s E’M.C.
Enième loi liberticide votée par le parle-ment [lobbyé] au nom du peuple français contre le peuple français auquel on ravit l’info la voix & la rue pour le détrousser de tous ses moyens d’expression comme si le parlementeur s’excisait de sa petite conscience de bobo voué à faillir à sa mission d’équilibre républicain, mot gravement galvaudé par ces gourous de régression en mode pervers. E’M.C.
Cabotinant de cadre en cadre jusqu’à Abdelcadre au cahot de ce chaos, cacophonie cacochyme de Cacochymocratie: grotesque gabegie au phénoménal pillage d’un pays sublime de sa jouvence gâchée de son déchirant génie de ses spontanés poètes à l’acmé de leur humour, semence foulée d’onagres cruels lors que des millions d’Algériens hissent l’histoire mondiale d’une page insurpassable. E’M.C.
Créance vorace, la politique, drame dont le monde est débiteur à son corps perdu de preuves au labeur -enchaînant chimères qu’il délègue aux sphinx, abruti de parapluies, du cirque & du pain & de ses bontés - coupable idéal - captif éternel à peine rétif à l’abus du prince qu’on l’épingle instable autour de la table empuantissant les mots-mors de sa liberté assignée à Protection! E’M.C.
[Ce n’est pas une sédition, c’est une intelligence] [Nous sommes vaccinés contre le chaos] [Ou nous vivons libres ou vous nous enterrez [avec les] braves] Mainte phrase brandie paraît trophée de vie pure d’écume au montant de cette mer d’âmes qui se ramasse au sémaphore de ses mots- sculptant sa geste- jetant les dés à l’arbitraire lui inversant son renvoi - E’M.C.
Quel bonheur d’expression: Les cadres, c’est fait pour décorer pas pour gouverner & Nous ne voulons ni du cadre ni des clous qui le fixent, allusion au populaire «Mçâmir al Gass’â» Les clous de la terrine- les rivets rouillés du pou[x]voir & aussi aux cérémonies autour portrait-cadre du président auquel on offrit un Cadre & même un pur sang arabe version burlesque de Sindbad le Taquin- E’M.C.
Algérie: Beauté trempée- intraitable Fée à tes faneurs attestés - soudain dégagée du Cadre- des Clous & du Camphre - de ton stoïque retrait & de ton chagrin d’amour tamisé d’humour- redevenant Toi- redevenue l’Unité-Nuée - Riante multicolore- merveilleusement révélée- charnue de ta Joie- fine de ta vérité Souriante Parousie- E’M.C.
ALGÉRIE - Rêvolutionnaire - déterminée - souriante - florale & festive - révélée - se dé-livrant au livre de sa vie de tout son insoupçonné florilège d’amour fou & d’humour - fière de se donner jour au surréalisme de l’évènement - au cocasse du Cadre qui la fit jaillir de sa riche réserve - par brassées - massive - fastigiée - & si fine - Cendrillon à son S[c]eau - d’ablution au printemps