Déjà quatre ans que la guerre ravage la Syrie, et, selon l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR), le nombre de Syriens réfugiés au Liban approche les deux millions. Une petite majorité d’entre eux sont des femmes. Elles habitent dans des campements informels, louent des chambres dans les camps palestiniens surpeuplés ou vivent dans des appartements meublés. Vulnérables, elles doivent être plus autonomes.
Une personne que j'interviewais il y a quelques mois m'a dit que « les Syriens ne sont pas seulement des statistiques, c'est une nation vivante ». Il semblerait que le monde ait oublié ce fait. A coups de chiffres de l'agence pour les réfugiés des Nations Unies, de mots tels que « réfugiés », « migrants », « clandestins », on en dénature même leur origine humaine.
The capital of Lebanon is considered to be over 5,000 years old, making it one of the oldest cities in the world. Phoenicians, Hellenists, Romans, Byzantines, Arabs, Crusaders and Ottomans built and lived in Beirut, leaving behind different layers of civilization that are still being discovered. Construction cranes have been a common site in Beirut since the end of the civil war, and today, private investors are quick to rid plots of land of ancient remains.
Depuis les manifestations de violences de Daech dans la ville libanaise d’Ersal et les décapitations de trois militaires, le dernier par Al Nosra la semaine dernière, le Liban s’agite et bout. Les premières victimes de ce bouillonnement sont les réfugiés syriens, près de deux millions à ce jour selon l’UNHCR.