Le Fonds pour une presse libre (FPL) est un organisme à but non lucratif ayant pour objet de défendre la liberté de l’information, le pluralisme de la presse, l’indépendance du journalisme.
Paris - France
Le Fonds pour une presse libre (FPL) est un organisme à but non lucratif ayant pour objet « de défendre la liberté de l’information, le pluralisme de la presse et l’indépendance du journalisme ; contribuer1…
à la protection du droit de savoir et de la liberté de dire à l’heure de la révolution numérique ; promouvoir un journalisme d’intérêt public, portant des valeurs humanistes, au service du bien commun et de l’égalité des droits, du rejet des discriminations et du refus des injustices » (Journal officiel de la République française, 14 septembre 2019).
Sa création repose sur la conviction qu’à l’heure des bouleversements induits par la révolution numérique, la liberté d’informer est sous la double menace de pouvoirs économiques et/ou autoritaires. Face à la concentration accrue des médias et à la perte d’indépendance économique des rédactions, le FPL veut aider au développement d’une presse libre, c’est-à-dire sans lien de dépendance vis-à-vis des intérêts privés et des autorités étatiques.
Le Fonds pour une presse libre et l’ONG internationale Media Defence s’associent pour créer « Ripostes », un fonds d’aide juridique pour la presse indépendante. Il s’agit de contrer les attaques des politiques et des entreprises contre la presse indépendante. Et faire en sorte que la peur change de camp en faisant condamner ces procédures abusives.
En 2025, l’information est un champ de bataille. « Sarkozy condamné par la justice, blanchi par les chaînes d’info », titre Arrêt sur images. Voilà le résultat d’un paysage médiatique verrouillé par une poignée de milliardaires… Mais face à ce jugement historique, un seul constat. Il reste un contre-pouvoir : la presse indépendante. Sans elle, personne n’aurait découvert l'affaire libyenne.
Mardi 30 septembre 2025, le FPL (Fonds pour une presse libre) organisait une grande réunion publique : « Procès Bolloré, les médias de la haine devant le tribunal ». Retrouvez le replay de la soirée.
Dans le procès symbolique des médias de la haine qu’organise le Fonds pour une presse libre lors d’une grande réunion publique, mardi 30 septembre, le public sera invité à participer. Comment ? Par des votes sur toute une série de propositions-surprises. L’entrée est gratuite, inscrivez-vous.
La campagne des médias Bolloré contre l’audiovisuel public est une parfaite illustration de ce que la presse indépendante appelle depuis des années « les médias de la haine ». Désinformation, campagnes ciblées contre des personnes, chasse en meute et relais politique du RN. Tout est en place pour détruire le débat public. Ce sera un des sujets de notre réunion publique du 30 septembre.
Le Fonds pour une presse libre organise mardi 30 septembre, à l’Espace Reuilly (75012), une réunion publique « Le Procès Bolloré, les médias de la haine devant le tribunal ». Réservez cette date, inscrivez-vous, l’entrée est gratuite. Et vous comprendrez mieux comment ces médias pavent la voie à l’extrême droite et installent dans l’hystérie et la manipulation un climat de guerre civile.
À vous qui soutenez le Fonds pour une presse libre, nous vous devons une complète transparence sur nos interventions et nos finances. La publication de notre rapport d’activité et de notre bilan comptable 2024 est l’occasion de vous détailler nos actions. Plus que jamais, le FPL appelle à une mobilisation de la presse pour défendre une information de qualité, pluraliste et indépendante.
Bernard Arnault fait de nouvelles acquisitions dans la presse économique. Daniel Kretinsky renforce son pouvoir à Libération et lance sa chaîne TNT. Rodolphe Saadé achète Brut. Nos oligarques milliardaires font leurs emplettes tandis que les macronistes pactisent avec le groupe Bolloré. Le tout dans un grand silence politique.
Plusieurs organisations, syndicats et médias, dont le Fonds pour une presse libre, appellent à un grand rassemblement public vendredi 17 janvier à partir de 9h devant le tribunal de Paris (75017). Il s'agit d'exprimer notre soutien à la journaliste de Disclose et dénoncer les attaques répétées du pouvoir contre le journalisme.