-
Entre-deux-tours, partie III. La campagne s’achève. On respire. Elle n’aura pas été bien verte, car les journalistes ne l’ont pas été, alors qu’en y regardant de près, les programmes l’étaient plus qu’à aucune autre campagne présidentielle. Pour les avoir auscultés, ceux et celles des primaires et ceux et celles des deux tours, je peux vous affirmer que c’est le jour et la nuit…
-
Entre-deux-tours, partie II, avant la troisième que je consacrerai jeudi ou vendredi aux programmes des deux derniers candidats. Je soumets aujourd’hui à ces deux-là une nouvelle réflexion qui, en apparence, n’est qu’écolo, pis, biodiversitaire, c’est-à-dire sans intérêt. Car elle porte sur les zones humides. Les zones humides ? Les zones humides !
-
Avant le premier tour j’avais, avec Denis Cheissoux sur France Inter, analysé les programmes de tous les candidats dans tous les domaines connexes à l’environnement. Le bilan était simple : Mélenchon et Hamon étaient loin devant Macron, qui était plusieurs crans au-dessus de Fillon, lequel dominait un peu le Pen ; avec des petits candidats qui, par-ci par-là, développaient des idées originales…
-
Une seule santé ! Vers une culture de l’alimentation pour une alimentation durable. L’alimentation durable… Qu’est-ce que c’est encore que ce concept, à une époque où tout se doit d’être durable pour avoir une chance d’être connu ! ? Il n’est de bon marketing sans cet adjectif, délayé à toutes les sauces.
-
Alors que les chercheurs crient famine, que leurs directeurs passent leur temps à le perdre à trouver des sous et convaincre des ânes de cabinets, alors que les thésards et les aspirants aux concours du CNRS font désormais partie du lumpenprolétariat, de la France pauvre et angoissée, tandis que de grandes fabriques de savoir tels que Carrefour et la Société Générale récoltent de gras Crédits…
-
Allez, hop, pour ce début d’année, voilà tout ce qui s’est raconté lors des 6e Assises nationales de la Biodiversité de septembre dernier. Vous verrez qu’enfin l’on considère celle-ci comme un objet social et politique. Les choses avancent, si tant est qu’elle sont incarnées et convenablement vulgarisées. Et puis quand même, meilleurs vœux, bonne année, bonne santé, bonnes sensations etc. ! Avec…
-
En octobre s’est tenue la 3e édition des rencontres annuelles entre le GIEC et son équivalent pour la biodiversité, l'IPBES. Organisées à la Maison des Océans de Paris par la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité (FRB) et l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri), ces troisièmes journées ont exploré un thème très particulier : les relations, ou plutôt…
-
En octobre s’est tenue la 3e édition des rencontres annuelles entre le GIEC et son équivalent pour la biodiversité, l'IPBES. Organisées à la Maison des Océans de Paris par la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité (FRB) et l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri), ces troisièmes journées ont exploré un thème très particulier : les relations, ou plutôt…
-
Yann Epstein, le roi des colloques chez FNE (France Nature Environnement) Île-de-France, a bien fait les choses : ce premier du genre sur la place de la voiture dans la première région de France a été une réussite car il a permis de faire le tour su sujet. Sans qu’aucun participant n’ait même l’idée de s’enfermer dans son petit donjon confortable. Voici la synthèse subjective de cette affaire.
-
Il y a de quoi s’étonner devant tant de courage et d’intelligence politiques. Le train de Belfort et les éoliennes offshore, voilà de quoi nous réconcilier avec les gens qui font avancer la France. La planète dit déjà merci aux candidats à la Présidentielle. Rassurez-vous, donc, aimables lecteurs : l’aménagement du territoire est en marche, il sera LE sujet de l’élection à venir. Je plaisante.