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J’avais été invité à assister le 5 avril à l’Assemblée générale de Biolait, belle maison qui collecte et distribue comme son nom l’indique du lait bio depuis un peu plus de 20 ans. Il y a la ferme des mille vaches, il y a ici la vache des mille fermes, dit-on dans cette SAS qui ressemble à une coopérative. J’ai donc écrit ce texte sur ma vision du bio, parce que Biolait s’interroge sur son avenir…
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Entre des anti-éoliennes confits dans leur nombrilisme, et des anti-pesticides combatifs qui savent ne pas insulter, j’ai vécu récemment une semaine révélatrice. Le « régime des plaintifs » tel que dénoncé par Enthoven dans le Point de cette semaine contamine bien l’écologie…
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Après deux mois passés à parler du Bio, je retrouve le clavier pour aborder un autre sujet, la mobilité. Qui n’est pas le transport. Visant à réduire l’usage de la voiture, les Plans de mobilité sont une obligation légale à laquelle nombre d’entreprises ont encore du mal à se conformer…
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En croissance, le bio est en crise. Menacé d'être réduit à l'état de label rassurant par la Grande distribution, tout autant que d'église évangéliste par ses militants les plus dogmatiques, son avenir n'est pas si riant qu'on le dit. J'ai enquêté sur le sujet, et voici mon livre…
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Dans Libération du 25 janvier, Magali Reghezza-Zitt, maître de conférences à l’École normale supérieure, déplore le je-m’en-foutisme général à propos de la crue. Les médias ont beau avoir transformé la montée des eaux en invasion toxique, ils passent largement sur la seule question qui vaille : aujourd’hui, ça va, comme il y a deux ans - déjà, mais demain, quand l’inévitable crue centennale…
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Le titre attire, et il a attiré. Rarement l’amphithéâtre de la Maison des Océans a-t-il été aussi rempli. Pour ses quatrièmes journées, la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité (FRB) a rencontré le succès. Sans doute le sujet était-il dans l’air du temps, sans doute est-il tombé à point nommé alors que l’on parle de transition écologique, et même solidaire dans l’intitulé du ministère.
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Vous le savez depuis l’infolettre précédente, le 5 octobre de la deux mille et dix-septième année de l’ère chrétienne est sorti mon premier livre graphique (L’Assiette est dans le Pré, Mieux manger fait mieux vivre les paysans). Avec Gilles Macagno au dessin, je raconte ce qui s’est dit aux États Généraux de l’Alimentation, car Gilles et moi sommes des devins. Je joins à cette lettre de nouvelles…
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Le 5 octobre de la deux mille et dix-septième année de l’ère chrétienne sortira mon premier livre graphique, et c’est un événement d’une ampleur nord-coréenne. Avec Gilles Macagno au dessin, je raconte l’agriculture d’aujourd’hui et de demain par le biais de la bouffe. Ce que nous mettons dans notre assiette est un acte social. Un choix de société. Un type d’aménagement du territoire…
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En février dernier, les chercheurs, agriculteurs, associatifs, forestiers et personnels administratifs concernés par l’agroforesterie ont fait coutume, comme on dit en Nouvelle-Calédonie. Ils ont fait le point sur l’état de l’art en la matière, sur ce mot valise, ce serpent de mer, ce moulin à prières agité dans toute réunion agriculturo-écolo digne de ce nom, l’agroforesterie…
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Organisée par une maison qui en 1853 prenait l’abeille pour emblème, l’Université des abeilles de Guerlain a tenu ses promesses au « 68 », magasin historique du parfumeur sur les Champs-Élysées. Les discussions ont été parfois vives, les choses ont été dites, aucune cause n'a été édulcorée, les remises en cause ont été développées, devant une salle pleine…