
Géographies en mouvement
Manouk BORZAKIAN (Neuchâtel, Suisse), Gilles FUMEY (Sorbonne Univ./CNRS). Renaud DUTERME (Arlon, Belgique), Nashidil ROUIAI (U. Bordeaux), Marie DOUGNAC (U. La Rochelle)
Sa biographie
Manouk BORZAKIAN est géographe, enseigne en Suisse. A publié : "Géographie zombie, les ruines du capitalisme" (Playlist Society )------ Gilles FUMEY est enseignant-chercheur en géographie culturelle (Sorbonne Université/CNRS Sirice). -------- Renaud DUTERME est géographe, enseigne en Belgique. Dernier1…
livre paru : "Pénuries - Quand tout vient à manquer" (Payot). -------- Nashidil ROUIAI est enseignante-chercheuse (U. de Bordeaux), travaille sur les représentations, notamment ciné-géographiques et leur impact géopolitique ------------ Marie DOUGNAC, géographe (ENS de Lyon, en thèse à l'U. de La Rochelle).
Son blog
535 abonnés
Le blog de Géographies en mouvement
Ses éditions
- suivie par 71 abonnés COP26 : face à l'urgence climatique, la fin du « blabla » ?
- 344 billets
- 1 édition
- 3 articles d'éditions
- 0 portfolio
- 0 lien
- 0 événement
- 241 contacts
Ses billets de blog
Voir tous-
Israël-Palestine : la solution à deux États, impasse géographique
Cisjordanie, 2014 (c) Renaud Duterme
À la suite de la reconnaissance de la Palestine par plusieurs chancelleries occidentales, la solution à deux États revient sur le devant de la scène chez de nombreux analystes. Pourtant, sur le terrain, cela n’a rien d’évident et est contredit par une géographie complexe rendant de facto impossible toute création d’un État palestinien digne de ce nom. (Renaud Duterme) -
Festival international de géographie 2025 (2) - Feu d’artifice sur le pouvoir
Une manifestation voulue populaire © DR FIG
Qu’est-ce que le pouvoir ? Plus d’une centaine de géographes triturent la question dans une fête hors normes, où toutes les questions sont permises : guerres, violences et dominations… Avec un voyage dans les TAAF dont la confiscation par la France dans l’océan Indien est une forme de pouvoir assez étrange. (Gilles Fumey) -
Festival international de géographie 2025 (1) Faut-il réécrire la Terre ?
Géographie ? Cosmographie ? Maxime Blondeau se passionne pour une réécriture de la Terre qui marie les vieilles (et nouvelles) cartes, les photos et les images satellites. C’est sur les réseaux sociaux qu’il a capté une partie de son public. Rencontre avec un cosmographe, version XXIe siècle. (Gilles Fumey) -
Des lieux incandescents
La géographie s’est donné pour domaine les territoires physiques de l’écoumène. Mais nous vivons dans des espaces (ou des lieux?) qui ne sont pas toujours physiques ni matériels. Les plus explorés seraient ceux nés de l’imaginaire comme le prolifique Jules Verne et tant de romanciers en ont construit. Les psychologues, les artistes plasticiens, les romanciers ouvrent des portes. (Gilles Fumey) -
Comment les automobiles saccagent le monde
Ceux qui ont connu l’impressionnant salon automobile de Genève aujourd’hui disparu se disent qu'on a changé d’époque. Mais pas tout à fait, car ils sont nombreux à faire de la résistance à la désacralisation de l’auto. Comme au Salon de Munich (septembre 2025) où les Allemands se battent encore pour la bagnole. (Gilles Fumey)
Ses articles d'édition
Voir tous-
Édition COP26 : face à l'urgence climatique, la fin du « blabla » ?
Frédéric Durand : la Cop26, « un échec total »
Suite de notre entretien avec le géographe Frédéric Durand. Il dresse un bilan tristement prévisible des négociations à Glasgow, entre blocage, hypocrisie et fausses solutions. (Manouk Borzakian) -
Édition COP26 : face à l'urgence climatique, la fin du « blabla » ?
Frédéric Durand : À la COP 26, « l’urgence est de plus en plus criante »
Les réserves d'uranium dans le monde (2019)
Nous avons rencontré le géographe Frédéric Durand, auteur d’un ouvrage de référence sur le réchauffement. Il résume les enjeux de la COP 26, entre urgence absolue de mesures fortes et danger des fausses bonnes solutions, comme le nucléaire. (Manouk Borzakian) -
Édition COP26 : face à l'urgence climatique, la fin du « blabla » ?
COP26 : gare au fiasco à Glasgow
Les « marchés carbone » de l’Accord de Paris (2015) sont discutés à Glasgow cette semaine. Leur enjeu est considérable. Les ONG veulent qu'on les abandonne. Elles comptent sur le mouvement Jeunes pour le climat, plus que jamais offensif. (Par Gilles Fumey)