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Le blog de guy Baillon

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La passivité des psychiatres est la cause de l’abandon de l’Accueil
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« L’Accueil au secours de la psychiatrie » au même titre que les ‘usagers’
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A Paris une descente d’inspecteurs de la DASS viole l’espace d’un GEM et annonce ainsi un deuil pour la psychiatrie.
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Hervé Bokobza au nom du collectif des 39 a su accueillir la folie samedi sur la ‘5 ‘
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Psychiatrie, fin programmée de l’Accueil et des fédérations d’usagers
Pendant que la nouvelle loi sur la psychiatrie tue l'Accueil des patients, le Ministère a décidé de mettre fin aux Fédérations d'usagers FNAPSY et UNAFAM. La nouvelle loi est une accumulation de ‘menaces' du début à la fin. « Si vous n'acceptez pas les soins, sachez qu'ils vous seront appliqués contre votre gré, soit en vous ‘internant' à l'hôpital, soit en vous internant à domicile !» sera-t-il affirmé aux personnes adressées sans qu'ils sachent pourquoi à l'un des futurs centres d'accueil de 72h. -
Un véritable «accueil» en psychiatrie n’a pas besoin du diagnostic comme outil mais de confiance
Je peux témoigner après 20 ans de travail d'accueil (notre centre d'accueil et de crise s'est ouvert en 1982, il est toujours en fonction avec les successeurs) qu'un tel travail passionne les soignants et a des résultats remarquables pour les soins (les soins qui font suite à l'accueil font l'objet d'une négociation entre le patient et les soignants, ce qui en assure la continuité, de ce fait le besoin d'hospitalisation et les ‘urgences' ont fortement diminué). -
L’accueil est né d’une évaluation de notre travail par les usagers : l’évaluation est indispensable pour la psychiatrie
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Actualité de l'Accueil
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Psychiatrie, mode d'emploi (2)
Un accueil «en psychiatrie» c'est le choc de deux mondes ! Poursuivons notre première lettre. Une personne ‘avertie' la lisant me dit : « Oui mais Guy, là tu nous parles des personnes qui vont bien et peuvent se déplacer seules, mais pour les autres, agitées, ou qui ne veulent pas venir, tu fais quoi ? Une hospitalisation sous contrainte ! »