Les autorités russes maintiennent leur plan consistant à remplacer tous les logiciels américains par des solutions locales ou, à défaut, open source pour en contrôler le code.
La Cour de justice de l'Union européenne, dans un arrêt publié le 7 septembre 2016, scelle en Europe la vente forcée ordinateur/logiciels au lieu de protéger les consommateurs et renvoie aux juridictions nationales le soin de trancher les litiges au cas par cas.
Car dans cette affaire, il ne s’agissait pas d’infliger une amende de quelques centaines de millions d’euros à une multinationale, ce qui représente bien souvent une goutte d’eau pour ces entreprises, mais d’interdire purement et simplement une pratique qui nuit aux consommateurs Européens et qui aurait contraint les fabricants à adapter leur manière de vendre des machines.
Selon la Cour de justice de l’Union européenne, la vente d’un ordinateur équipé de logiciels préinstallés ne constitue pas une pratique commerciale déloyale. Tant pis si le consommateur ne peut ni choisir librement son système d’exploitation, ni contester la présence non sollicitée des multiples logiciels. Un revers pour les défenseurs du logiciel libre, une déception pour l’UFC-Que Choisir.
Dans le cadre de l’examen du projet de loi « Égalité et citoyenneté », qui sera discuté en séance publique ce mardi 4 octobre 2016, plusieurs sénateurs (LR et PS) viennent de faire adopter, très discrètement, des amendements scélérats contre la Liberté de la presse. Sous le couvert de l’égalité des citoyens devant la loi, ces sénateurs veulent abolir des pans entiers de la loi du 29 juillet 1881.
Maria Noland, étudiante américaine en sciences de l’éducation, lance une alerte sur les dangers de l’implantation en France d’une branche du réseau Teach for All, né aux États-Unis pour recruter et former des enseignants à bon marché.
Trente diplômés français de grandes écoles ont suivi la première université d’été de Teach for France en juillet. Contractuels pour deux ans, ils seront nommés dans les collèges REP de l’académTrente diplômés français de grandes écoles ont suivi la première université d’été de Teach for France en juillet. Contractuels pour deux ans, ils seront nommés dans les collèges REP de l’académie de Créteil.
La convention de « partenariat » liant le ministère de l’Éducation Nationale et Microsoft sera bientôt débattue devant la justice. Le collectif EduNathon, pour qui il s’agit en réalité d’un marché public déguisé, a déposé aujourd’hui un référé auprès du tribunal de grande instance de Paris. Une audience est prévue pour le 8 septembre.