Un logiciel est dit « malveillant » lorsque son fonctionnement a été conçu pour traiter l'utilisateur de manière inéquitable ou lui faire du tort (erreurs accidentelles mises à part). Cette page explique ce qui rend malveillants les logiciels des produits informatiques d'Apple.
Après l'affaire Snowden, les révélations sur les programmes de surveillance numérique se poursuivent sans temps mort. Après Yahoo, c'est la collaboration tarifée d'AT&T, avec son programme Hemisphere réservé aux forces de police et aux agences de renseignement, qui vient d'être pointé du doigt par l'Electronic Frontier Fondation.
Le G29, qui réunit les Cnil européennes, a publié une lettre ouverte adressée à WhatsApp, pour lui demander de ne pas procéder pour l'instant au partage des données personnelles de ses utilisateurs avec Facebook, qui l'a racheté il y a deux ans. Elles estiment que le consentement des internautes concerné n'est probablement pas valide.
La communication d’une partie du code source de l’algorithme Admission post-bac (APB) a fait naître des questions chez les développeurs qui le décryptent. Premiers éléments de réponse du ministère.
Un logiciel est dit « malveillant » lorsque son fonctionnement a été conçu pour traiter l'utilisateur de manière inéquitable ou lui faire du tort (erreurs accidentelles mises à part). Cette page explique en quoi consiste la malveillance des logiciels Microsoft.
Depuis 24h, le Ministère de l’Education Nationale a rendu public une partie de l’algorithme de la plateforme Admission post-bac qui traite les vœux d’orientation de centaines de milliers d’élèves tous les ans.
Le partenariat Microsoft-Education nationale agite les défenseurs du logiciel libre. Un premier procès perdu, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) saisie, une pétition qui circule… Créé début 2016, le collectif d’associations libristes Edunathon a intenté une action en justice contre l’Etat et Microsoft pour contester la légalité du partenariat de 13 millions d’euros...