Les Etats Unis viennent de dépasser le pic de mortalité de 2020 malgré une vaccination à 85% de sa population et Newsweek annonce la fin de la pandémie. Optimistes les ricains ? En attendant le mois d’août un point au 17 avril 2022 sur quelques pays qui tend à démontrer le contraire.
Que ce soit pour Covid ou pour l’Ukraine, l’expression favorite des scientifiques ou des géopoliticiens est : « on ne sait pas » ! Mais sur les plateaux télé, on a quand même une variante : « on ne sait pas, mais on a sa petite idée ».
10 milliards, c’est le nombre de doses de vaccins contre la covid injectées dans le monde début mars 2022. On se rapproche des 70% de la population mondiale à avoir reçu en moyenne deux doses du fameux liquide censé apporter l’immunité collective si l’on en croit Futura science.
En ce début d’année 2022, les médias ont d’autres choses « en magasin ». La présidentielle, Macron à Moscou, Macron à Belfort, le convoi anti-vax, anti-passe. Et pourtant, le monde d’hier ne change pas vraiment. Le virus est toujours là, on a plus de morts mais moins de cas, visiblement c’est ce qui compte…Surtout ne pas montrer les échecs de la vaccination. La censure est toujours là.
Trois ans déjà. Trois années de batailles contre des services de l’Etat (Police de l’Eau) amorphes qui n’ont qu’une réponse aux déversements des eaux usées en Méditerranée : « les performances de la station d’épuration sont conformes ». Mais devant l’hypocrisie il ne faut jamais baisser les bras et taper à toutes les portes ; même à celle de la Bonne Mère.
A l’heure où nos élites nous foutent la trouille en « écrasant une petite larme » sur les non-vaccinés qui seront les seuls à subir les foudres d’Omicron, il est temps de se pencher un peu sur ce qu’il se passe sur une grande partie de la planète à la veille du vote de la loi sur le passe vaccinal.
Pas facile de comparer ce qui est, à priori, peu comparable. Mais en cherchant bien, on arrive quand même à faire apparaître des situations dont on parle peu mais qui sont quelques fois surprenantes.
Comment justifier la mise en place d’un pass sanitaire quand la vaccination ne fait pas la preuve de son efficacité. Les pays qui ne vaccinent que les volontaires et qui soignent les autres ont un taux de mortalité moindre.
L'épidémie se développe et il va falloir prendre des décisions rapides et efficaces. On le sait depuis juin 2021, le vaccin n’aura pas l’efficacité attendue contre les variants, mais la presse zoome sur les cas au lieu d’analyser les effets des mesures sur la mortalité. Les médicaments ne sont pas des vaccins. Les tester en imaginant qu’ils vont réduire la charge virale est un contre-sens.