-
A Maurice, la Covid-19 a pris la main. L'étreinte de la 2e vague étouffe cette république de l’océan Indien. Aux morts et aux cas qui augmentent s'ajoutent des hôpitaux contaminés, une économie fiévreuse et une population partagée entre angoissés et désinvoltes. La classe politique, elle, continue à se déchirer alors qu'il est urgent de trouver un terrain d'entente pour une sortie de crise.
-
A Maurice, quelques jours à peine après son départ du gouvernement, un ancien ministre se présente comme solution pour l’avenir du pays. M. Nandcoomar Bodha enchaîne les apparitions médiatiques, sans exprimer aucun regret par rapport à son rôle au sein de l'exécutif. M. Bodha, tel un sou neuf, dit vouloir rassembler l'opposition autour de son projet. Surprenant !
-
Devant l'Office des Nations Unies, et malgré un froid glacial à Genève, des membres de la diaspora mauricienne en Suisse ont exprimé leur solidarité envers leurs compatriotes qui ont réclamé ce 13 février la démission du gouvernement de M. Pravind Jugnauth dans les rues de Port-Louis. Des lettres, alertant sur la situation dans cet Etat de l'océan Indien, ont été remises à l'ONU.
-
Une nouvelle manifestation impressionnante à Maurice ce 12 septembre, cette fois au village de Mahébourg, directement touché par la marée noire suivant le nauvrage du MV Wakashio en août. Le Premier ministre et son gouvernement font mine de ne rien voir. Pourtant, cette mobilisation citoyenne pourrait mener à un véritable bouleversement politique.
-
A Maurice, une semaine après la marche monstre du 29 août, des groupes se disant représentants de la communauté hindoue, organisent une « grande prière » pour le pays ce dimanche 6 septembre. Devant les caméras, les organisateurs parlent d’unité nationale. Mais leurs affiches de mobilisation tiennent un tout autre langage, sans que les auteurs ne soient inquiétés.
-
Des milliers de Mauriciens ont manifesté leur colère dans les rues de la capitale, Port-Louis ce samedi 29 août. Une marche, un exutoire, pour rappeler leur gouvernement à l’ordre et exiger que le peuple soit respecté.
-
La diaspora mauricienne se mobilise pour porter les revendications des citoyens de l’île. La Suisse a ouvert la voie, avant une marche prévue ce samedi 29 août dans les rues de la capitale, Port-Louis. Des Mauriciens de Suisse, de France et d'Italie ont manifesté devant les Nations Unies.
-
A Maurice, la plainte d’un citoyen, M. Bruneau Laurette, suite à la marée noire provoquée par le MV Wakashio, a conduit deux ministres devant la justice. Aux abords du tribunal, leurs soutiens bruyants, venus en force, se sont heurtés à un obstacle inattendu. Une voix les a stoppés net.
-
Le Premier ministre mauricien ne présentera pas les excuses de son gouvernement à la population, après le naufrage du MV Wakashio, vraquier japonais battant pavillon panaméen le 25 juillet dernier au sud-est de Maurice. Pas d'excuses pour la marée noire qui a suivi 12 jours après. Il durcit le ton et refuse l'accès à ses conférences de presse à deux médias. C'est trop pour la population.
-
À Maurice, la population a pris les choses en main pour tenter d'entraver la progression d'hydrocarbures provenant du MV Wakashio, vraquier japonais battant pavillon panaméen qui s'est échoué au sud-est de l'île, le 25 juillet dernier. Pendant 12 jours, les autorités locales ont affirmé qu'il n'y avait pas de risques écologiques, jusqu'à ce que l'horreur se produise le 6 août : une marée noire !