Pour une Europe puissance

Nous recevons ce texte que nous reprenons en partie ici, car il signale un vrai problème se posant dans la police comme dans l'armée. Mais n'est-ce pas l'ambition des islamistes de mettre en difficulté, ne fut-ce que par quelques attentats isolés, la communauté musulmane toute entière.

C'est ce que nous apprenons le 11 octobre par la voix autorisée d'Amélie de Montchalin, Secrétaire d'État chargée des affaires européennes, s'exprimant dans le 7/9 de France Inter.

Riposte Laîque publie cet article signé par Hamdane Ammar. Nous le reprenons ici car il semble inspiré par le simple bon sens. On nous reprochera de trop parler d'islamisme car ce serait lui donner une importance artificielle. Mais comment ne pas réagir aux événements dramatiques liés à l'islam de combat?

Face au risque de nouveaux attentats terroristes, beaucoup de citoyens responsables se posent la question.

Defense News est un site américain consacré aux questions militaires. Il y consacre de nombreux articles concernant les questions de défense. Leurs auteurs sont souvent de jeunes journalistes, parmi lesquels de nombreuses femme. Il se dit indépendant de toute influence officielle ou provenant des GAFAM, ou Grands de l'Internet américain.

Emmanuel Macron a dit enfin le 8 octobre le minimum de ce qu'il fallait lors de la remise de la Légion d'Honneur aux 4 policiers tués le 3 octobre par un de leur collègue islamisé à la Préfecture de Police de Paris. Il a appelé la nation toute entière à lutter « contre l' ogre islamiste ».

Début 1940, l'armée française qui disposait de moyens en hommes et matériels équivalents à ceux de la Wermacht, s'était laissée surprendre par l'emploi de Panzerdivisions ou divisions blindées allemandes très mobiles et offensives.

La radicalisation n'est pas un crime au sens pénal français. Mais l'expérience montre qu'elle y conduit de plus en plus.

Nous reprenons ici à la demande de lecteurs, un article d'Ambroise de Rancourt, paru sur le site Vu du Droit. Comme quoi la France est en guerre et nul ne veut en convenir

Peu de commentaires ont été faits en France concernant la récente mise en examen du vice-président du Conseil d'Etat, 2e personnage de l'Etat, un certain Bruno Lasserre, (nous citons son nom car l'affaire est publique).