Après avoir usé et abusé de sa position dominante au point des ennuis avec la justice, Bill Gates s’est retiré avec un pactole monumental qu’il veut utiliser dans des buts philanthropiques. Béatification à l’horizon ou l’auréole sent-elle un peu le pâté ?
Dans son édito de mercredi, M. Joffrin nous explique que cette histoire de négociation du temps de travail au sein de l’entreprise est une broutille et il ne comprend pas pourquoi on en fait tout un plat. Encore un petit effort et Libé obtiendra son statut d’organe de propagande officiel du Parti Socio-Libéral.
Malgré l’intense lobbying de l’administration Obama, le Sénat américain vient d’adopter un projet de loi autorisant les victimes du 11 Septembre à poursuive l’Arabie saoudite devant les tribunaux.
Cet article de la Tribune est une magnifique illustration de la phrase de Keynes "De toutes les maximes de la finance orthodoxe, il n'en est aucune de plus antisociale que le fétichisme de la liquidité". À lire d’urgence si on veut comprendre le fond de l’ignominie de la réforme du Code du travail.
Le site Democracy Now! reproduit une conversation entre la journaliste (et co-fondatrice du site) Amy Goodman et Noam Chomsky sur la politique étrangères des États-Unis en général et sur la destitution de Dilma Rousseff en particulier. C’est court mais c’est clair.
Article et vidéo de Human Right Watch : le gouvernement turc prétend qu’il mène une politique de porte ouverte et d’accueil des réfugiés syriens, mais la réalité est qu’à la frontière turque, des gardes armés tirent sur les Syriens ou les tabassent à mort.
Si les entreprises gagnent TROP d'argent, alors pourquoi leur permettre d’en gagner encore plus en faisant travailler les salariés 12 heures par jours ou en leur permettant de les licencier sans motif ? Pourquoi les aider à en gagner plus en détricotant le Code du Travail et les droits sociaux ?
Parqués depuis des mois dans les camps insalubres d'Idomeni à la frontière gréco-macédonnienne, 11 000 réfugiés syriens que l’Europe refuse d’accueillir sombrent dans la folie.
Le 21 avril dernier, la mairie de Barcelone a publié une déclaration dans laquelle elle exprime son opposition ferme à la façon dont les traités européens de libre-échange sont actuellement négociés.