L’ambiance est à la fête au Congo-Brazzaville. C’est du déjà-vu. Rien de nouveau sous les tropiques où les relations entre le Congo-Brazzaville et le Fonds monétaire international (FMI) joue au « stop and go ». La signature d’un accord avec l’institution de Washington donne lieu à des scènes de liesse à Brazzaville comme à l’accoutumée...
Pendant que nos parents retraités meurent sans pensions, sans eau potable, sans électricité, nos sœurs et frères souffrent sans emploi, Denis Christel Sassou bien connu par son nom des actions criminelles "Kiki Angwalima" perçoit un salaire mensuel de 48 000 000 FCFA reconnu officiellement. C'était en 2017. Et aujourd'hui, c'est combien ?
Tsaty-Mabiala et Jeremy Lissouba votent assis et en catimini la modification de la constitution. La révision constitutionnelle de l'article 15 de la constitution du 25 octobre 2015 a pour but de permettre à l'empereur de concentrer tous les pouvoirs militaires. Ainsi, la route sera libre pour son rejeton. C'est ce scénario qui se dessine sous nos yeux.
Ce à quoi Christel Denis Sassou Nguesso, le fils voleur Zaïrois du dictateur Denis Sassou Nguesso, croit… : Aux fétiches pour marabouter les Congolais ! Cependant, ces sorciers ne peuvent plus rien faire contre un peuple déterminé. Trop tard !
Les carottes sont-elles cuites ? Le cœur de Denis Sassou Nguesso a-t-il cessé de balancer ? Entre le fils et le neveu, est-ce la fin de la course effrénée ? Le Parti congolais du travail (PCT) est-il définitivement largué et jeté aux oubliettes ? Christel Sassou a-t-il « tué » le match ? Le choix est-il définitif ? Le pouvoir au Congo-Brazzaville se résume-t-il à une affaire de famille ?
Et pourtant, Dieu n’a jamais été corrompu. Mais alors, que cherchent-ils en tentant de troubler, une fois de plus, le sommeil éternel du Cardinal Emile Biayenda ? Choquer, frapper les esprits et intimider la population pour mieux l’asservir ?
Nous reprenons ici, à titre de rappel, l'article de IRIN publié en 2018 sur les massacres opérés dans la région du Pool de 1998 à 2018 par le régime de M. Denis Sassou Nguesso. Malgré les années qui passent, la situation dans cette région reste inchangée. Les écoles, les structures de santé bombardées, détruites, n'ont jamais été reconstruites. Comme les ponts. C'est fait à dessein...