Le Congo-Brazzaville qui tire l’essentiel de ses ressources financières de la production pétrolière peine à assurer la diversification de son économie. Cette situation se paye cash : faible croissance, pénurie d’investisseurs, rareté des flux financiers, fort taux de chômage…
Suite aux intempéries de toutes sortes qui endeuillent le peuple congolais, notamment les inondations dues à des pluies abondantes, le Cercle des démocrates et républicains du Congo (CDRC) condamne l’attentisme du pouvoir du PCT qui se montre incapable de soulager la peine des populations congolaises.
Avec la devise « Nous mangeons tous ensemble, nous chipons tous ensemble, nous coulerons tous ensemble », monsieur Rodolphe Adada, ministre à vie au Congo-Brazzaville dans les gouvernements successifs de monsieur Denis Sassou Nguesso, a été rattrapé par la patrouille.
Rien ne sert de se plaindre de la déliquescence des pans entiers du pays si certains compatriotes apportent avec force et vigueur aux médiocres adoubés par Sassou Dénis et le PCT de l’eau à leur moulin.
Une vérité que l'on a tendance à oublier ou à vouloir cacher. Car si l'UPADS avait respecté les accords signés avec le PCT lors de la présidentielle de 1992, Sassou Nguesso n'aurait, très certainement, pas fait son coup d'Etat 5 ans plus tard.
Durant la guerre civile du 05 juin 1997, la neutralité bienveillante de la France, venue uniquement secourir ses ressortissants, s’est soldé par un massacre d’un dixième de la population congolaise qui s’apparente à des crimes de guerre, et dont l’unique responsable monsieur Denis Sassou Nguesso est impuni jusqu’à ce jour.