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Le blog de Juliette Prados

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Hey, Apolline… Wake Up ! (une matinale classée X)
Ce matin, Mathilde Panot était l’invitée d’Apolline de Malherbes pour le « Face à Face BFMTV ». Une interview de vingt minutes, diffusée sur BFM et RMC, de quoi permettre de parler d’un certain nombre de sujets. Enfin, en théorie... -
Les corbeaux sur nos plaines
No Pasaran
2024 se termine. Une année sombre, qui a vu l’extrême droite répandre encore davantage sa toile sur notre pays. Si le résultat des urnes au soir du 7 juillet a semblé offrir un semblant de sursis, il faudra bien plus qu'une mobilisation ponctuelle pour en venir à bout. -
Merci Bernard !
tweet aurore bergé
Le détournement d'attention, c'est la spécialité de ce gouvernement. Et pourquoi s'en priver, puisque (presque) tous les médias embrayent comme un seul homme ? -
La BAC sur le banc
Maquette du tribunal judiciaire de Créteil © Juliette Prados
Ce lundi, la défenseure des droits présentait son rapport annuel. Elle s’est dite inquiète des témoignages d’intervention des forces de sécurité, qui laissent penser que les droits ont pu être bafoués. Alors que la majorité s'accorde à contester le terme de "violences policières", mercredi dernier se tenait le procès d’un policier jugé pour violences sur le journaliste Taha Bouhafs. -
À l’Assemblée, la démocratie se prend une veste…
"Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et qu’on ne nous en arrachera que par la puissance des baïonnettes."
Il y a quelque chose de pourri au royaume de Macron. Le pouvoir craque de toute part et le spectacle n'est pas beau à voir. La crise qui secoue la Monarchie présidentielle révèle l'agonie de la Ve république. Malgré l'aspiration à une VIe République, les tenants du régime pensent qu'il suffit de ripoliner les institutions pour calmer la colère. un "democracy washing" qui ne convainc personne. -
Deux Camps
L’élection d’une socialiste dissidente en Ariège a généré un chœur de louanges où se retrouvaient autour des mêmes mots des membres du gouvernement, des porte-parole du Rassemblement national, des socialistes anti-Nupes, des figures du Printemps Républicain. Tous s’enthousiasmant pour cette victoire d’une gauche… dans le « bon camp ». Mais de quel camp parle-t-on ?