Dans sa nouvelle « berzingue » consacrée à La Rochelle, l’acteur et écrivain fait réviser, en 5 interminables minutes, une histoire de la ville qui gomme deux siècles d’un crime contre l’humanité. Une omission coupable car forcément volontaire.
Dans sa nouvelle « berzingue » consacrée à La Rochelle, l’acteur et écrivain fait réviser, en 5 interminables minutes, une histoire de la ville qui gomme deux siècles d’un crime contre l’humanité. Une omission coupable car forcément volontaire.
Dans sa nouvelle « berzingue » consacrée à La Rochelle, l’acteur et écrivain fait réviser, en 5 interminables minutes, une histoire de la ville qui gommant deux siècles d’un crime contre l’humanité. Une omission coupable car forcément volontaire.
La capitale normande, haut lieu de la traite et de l'esclavage des noirs au 18e siècle, appelée à se hisser à la hauteur des enjeux de vérité et de justice qui bruissent dans le monde entier.
Un jeune citoyen portugais, père de trois enfants, a été assassiné, à bout portant et en public, samedi 25 juillet à 14h dans les rues de Lisbonne. Meurtre dans un pays pionnier de la traite et de l'esclavage des noirs mais dont l'Etat est absent dans le devoir de mémoire et de transmission des enseignements d'une histoire coloniale non encore assumée.
Reconnaissance posthume d'un anticolonialiste antillais que Bordeaux dédaigna en 2019 sous la pression de l’extrême droite. La nouvelle majorité saura-t-elle être à la hauteur de cette juste mémoire sur l’espace public bordelais ?
Inauguré récemment, cet institut sur le cerveau honore l’un des pionniers des thèses racistes et sexistes en France. A l’heure où émerge une nouvelle conscience planétaire antiraciste, anticolonialiste et antisexiste portant sur les symboles de l'histoire coloniale, un choix qui laisse interrogatif.
A l’unisson avec le comité Adama Traoré, à Bordeaux, une agora citoyenne ce 18 juillet contre le racisme réunit quatre figures du combat pour la justice : Nelson Mandela, Adama Traoré, Mamoudou Barry et George Floyd. Alors que le gouvernement français refuse d’ouvrir le débat sur le racisme institutionnel et sur l’égalité.
Si le président Macron a choisi de refuser la discussion sur le passé colonial, esclavagiste et raciste français, les nouveaux maires des villes concernées par cet héritage ont la responsabilité historique d’entendre les nouvelles mobilisations antiracistes et de mettre en œuvre les politiques d’égalité espérées par les citoyens.
Après le déboulonnement de la statue de Victor Schoelcher en Martinique, c'est la statue du marchand négrier anglais Edward Colston qui vient d'être renversée à Bristol. Quid de la France où le 5 juin une lettre ouverte a été adressée au président de la République et aux candidats aux municipales à Bordeaux, Biarritz, La Rochelle, le Havre et Marseille.