Ce collectif s'est constitué de façon informelle en juillet 2017 après la semaine professionnelle des Rencontres de la Photographie d'Arles. Nous avions besoin de discuter entre femmes des difficultés1…
systémiques que nous avons à vivre dans nos métiers : harcèlement, invisibilisation... Il s'est reconfiguré un an plus tard à la suite des RIP 2018 pour agir et interpeller le 3 septembre 2018 le directeur des Rencontres d'Arles sur le manque structurel de femmes exposées.
Le 16 novembre 2018, le rédacteur en chef culture du journal Le Monde a publié une chronique intitulée : « Tout ira mieux quand une artiste aura le droit d’être aussi mauvaise qu’un homme ». Nous l'avons lue et commentée.
Le 8 novembre 2018, un manifeste écrit par le collectif #LaPartDesFemmes a été lu sur la scène de l'auditorium de Paris Photo. On 8th November a manifesto by #LaPartDesFemmes collective was performed on stage in the auditorium of Paris Photo.
Le doigt dans le viseur. En Allemagne, l’artiste Oliver Laric écrit à Alain Bieber ne plus vouloir participer à une exposition en raison du manque de représentation des femmes. La réponse du directeur artistique franco-allemand est édifiante et nous en rappelle d'autres, en France.
Le 2 septembre 2018, un collectif de professionnel·les de la photo répondant à l'appel de Marie Docher publiait dans le journal Libération une lettre au directeur des Rencontres de la Photographie d’Arles en l’interpellant sur le peu de femmes exposées. Voici la vidéo qui reprend les éléments de cette lettre ainsi que des informations complémentaires.