L'Union européenne vote actuellement pour élite ses
représentants au parlement européen.
La thématique écologique, urgemment d'actualité,
est la grande oubliée de cette campagne, occultée
par l'immigration, préoccupation permanente des
partis de droite et d'extrême droite, en tête de leurs
agendas politiques.
Depuis le début de la campagne pour les élections
européennes, à la proportionnelle et à un seul tour,
prévues le 9 juin prochain, le parti présidentiel ne
cesse, à juste titre d'ailleurs, de dramatiser la très
probable élection massive d'élus du parti d'extrême
droite de Marine Le Pen (RN).
La Slovénie vient donc à son tour de reconnaître officiellement l'état de Palestine, portant ainsi à 147 (sur les 193 que compte l'ONU), le nombre de pays ayant assumé leur responsabilité historique devant leur peuple et aux yeux du monde.
Une démocratie consiste en ce que chaque citoyen soit encouragé
à exprimer ses opinions au sein de la sphère publique.
Afin de simplifier ce processus, la démocratie représentative
a été imaginée, avec, pour l'encadrer, un corpus juridique adaptatif
et des institutions évolutives censées le garantir.
Ces derniéres années, et particulièrement depuis quelques mois, ce qui relève de la justesse de la pensée peine à s'imposer au sein de notre société.
Aux plans politique et médiatique, cela se traduit par une uniformisation et une radicalisation des positionnements et des prises de paroles publiques.
Les évènements dramatiques qui se déroulent actuellement en Nouvelle Calédonie sont survenus suite à la décision de l'exécutif de dégeler le corps électoral pour les futurs scrutins.
On peut lire dans la presse indépendante que cette décision relève, de la part de l'exécutif, d'une attitude de pyromane-pompier, eu égard aux violences qu'elle ne manquerait pas de susciter sur "le caillou".