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Alors que les épidémiologistes proches du pouvoir politique continuent d’effrayer, de culpabiliser la population et de sacrifier la jeunesse, l’épidémie installe son rythme saisonnier. Notre incapacité à nous adapter à la nature de cette épidémie masque par ailleurs des risques environnementaux majeurs qui se rapprochent toujours plus, en raison de notre dramatique inaction.
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Dans cet entretien exclusif, le généticien Christian Vélot explique en quoi consistent exactement les divers vaccins utilisés contre la Covid, il conteste certains propos d’Alain Fisher et alerte de façon très argumentée sur les dangers de la stratégie vaccinale suscitée par l’OMS et les industries pharmaceutiques, et adoptée par la plupart des gouvernements du monde.
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Le gouvernement cherche à imposer une obligation vaccinale à l'ensemble de la population. S'agissant de vaccins expérimentaux qui sont loin d'avoir terminé leurs phases d'expérimentation, une telle obligation serait toutefois illégale avant cette échéance. En attendant, le droit français, comme le droit international, exigent le consentement libre et éclairé de chaque citoyen.
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Il existe deux grandes théories sur l’origine du SARS-CoV-2. La première est qu'il est passé naturellement des animaux sauvages aux humains. L'autre est que le virus était à l'étude dans un laboratoire, d'où il s'est échappé. S’il n'existe à ce jour aucune preuve directe de l'une ou l'autre théorie, l’ensemble des indices pointent clairement dans une direction spécifique.
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Tandis que la doxa l’a présentée durant toute l’année 2020 comme une « théorie complotiste », l’hypothèse de l’accident de laboratoire apparaît comme la plus probable pour expliquer l’origine de l’épidémie de SARS-CoV-2. En France, les alertes lancées par deux personnalités du monde médical et par un groupe de militants écologistes sont aujourd’hui prolongées par une équipe de virologues du CNRS.
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On prolonge ici l'analyse de la surmortalité liée au Covid en France en 2020. On discute cette fois la « chute de l'espérance de vie » annoncée par l'INSEE, en montrant qu'elle doit être historicisée et relativisée. Au passage, on répond aussi à certains journalistes malveillants qui cherchent à empêcher le débat intellectuel.
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Comme leurs homologues anglais, les modélisateurs de l'Institut Pasteur continuent à prédire des catastrophes et à se tromper. Leur objectif est désormais de justifier la vaccination de la totalité de la population, au lieu de réserver les vaccins aux personnes à risque et de prendre au sérieux la question du consentement. Il y a urgence à ouvrir un vrai débat démocratique sur cette question.
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C’est au nom de l'autorité de la science que le gouvernement a depuis un an décidé de mettre sous cloche les processus démocratiques et certaines libertés fondamentales. Or la science n'est ni infaillible, ni incorruptible. Revenant sur plusieurs exemples marquants de 2020, cet article montre que, en réalité, c’est bien plus souvent la politique qui a influencé la science que l’inverse.
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On analyse ici la surmortalité liée à l'épidémie de Covid en France en 2020. On la compare aux épisodes habituels de surmortalité saisonnière et à leurs effets de moisson. On tient compte de l’évolution de la structure de la population marquée par un vieillissement continu. Au final, on estime à 3,6% l’excès par rapport à la mortalité attendue, augmentation réelle mais pas l'hécatombe annoncée.
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Cet article rappelle quelques erreurs systématiques portés par les épidémiologues les plus visibles, comme la croyance que leur modèle est plus vrai que la réalité ou bien la nécessité d’exprimer des vues pessimistes pour soutenir des formes de gouvernement par l’acceptabilité sociale. On ne devrait pas laisser à cette discipline le monopole de l’expertise pour la décision publique.