Le blog de Lucien Atencia

C’est ainsi que se concluait le poste de mon dernier interlocuteur sur Facebook.

Posons la question : « Qui oserait confier les commandes d’un avion à un pilote qui n’a jamais piloté ? ».

Pour la première fois sans doute sous la Ve République, à la veille d'une élection présidentielle, la seule qui compte, la quasi-totalité des candidates et candidats sont persuadés qu'ils n'ont aucune chance de l'emporter.

Enlever une seule de ses caractéristiques et en faire le meeting d’un parti unique, la condamnerait à mort.

Je préfère le dire que de le cacher derrière un discours d'union et de rassemblement factice.

Et ce silence assourdissant, au milieu de tant d'éloges, sur les responsabilités syndicales de Bébel, parce qu'il les a exercées à la CGT, cette autre bête noire de l'extrême droite.

Je sais que je ne vais pas me faire que des amis en écrivant cela, mais j'ai l'habitude.

Déjà sept candidats à gauche. Plus le capital est petit, plus ils sont nombreux à vouloir se le partager.

Au point qu'en France, il y a moins de candidats aux concours que de postes à pourvoir.

On y va tout droit, mais ils regardent ailleurs.