Je voudrais ici, après mon article sur « Le vide et le blanc, contribution à une théorie générale de la photographie » aller plus loin dans ma théorisation de la pratique photographique, en m’attachant en particulier à ce qui est l’objet de la photographie, c’est-à-dire la lumière.
Dans ce texte, je m’interrogerai sur les racines de ma vocation pour l’histoire, en observant ce qui, dans mon histoire personnelle et familiale, a pu m’influencer dans ce sens. Je m’attacherai, en particulier, aux ponts que l’on peut tracer entre le champ de la psychologie et le champ de l’histoire.
On peut se poser des questions sur l’origine de la vocation de chercheur, mais les raisons sont souvent multiples et fortement liées à la personne du chercheur. C’est pourquoi je parlerai ici uniquement de mon cas personnel, en espérant que cela m’aide et en aide également d’autres à comprendre les racines de la vocation pour la recherche.
Dans cet article, je voudrais m’intéresser à ce qui rapproche deux types d’observation et d’enregistrements de l’environnement naturel, à savoir la photographie de nature et le métier d’audionaturaliste.
Lorsqu’on se préoccupe de jardins, on s’intéresse forcément à la question de l’eau, qu’il s’agisse simplement de l’irrigation ou bien de faire de l’eau un élément paysager du jardin à part entière.
Alors, vous n’aimez pas la musique, c’est une affirmation sûre d’elle que j’entends, dans les associations que je fréquente, lorsque je dis, en réponse à leurs questions sur mes goûts musicaux, que je n’aime pas la soupe déversée par tonneaux entiers dans nos oreilles par tous les médias.
Lorsque l’on crée un film pour le cinéma ou bien une vidéo pour son usage propre, se pose la question de la bande son pour accompagner les images en mouvement. Dès lors, on doit répondre à une interrogation, la bande-son est-elle seulement là pour combler un vide ou bien l’accompagnement sonore est-il considéré comme un élément essentiel du film lui – même ?