Après avoir étudié mon goût de l’ailleurs en matière de musique, je vais à présent me pencher sur mon attirance pour la chanson française et ce, dès mon plus jeune âge.
Devant le déferlement de médiocrités en matière de chansons depuis des années qui agressent mes oreilles de façon insupportable, j’ai jugé bon de me rappeler ce qui est pour moi l’art de bien chanter et d’abord de chanter dans ce qui est ma langue maternelle, c’est-à-dire le français.
Face au développement des jardins en ville et de diverses formes d’agriculture urbaine, la question se pose de la fonction de cette nouvelle forme d’agriculture, outre la fonction nourricière, et de ses fondements philosophiques. En effet, l’agriculture urbaine et les jardins urbains sont-ils un comble de l’urbanité ou bien une nouvelle forme et un renouveau de l’agriculture ?
Face à un paysage, quel qu’il soit, on a souvent tendance à nous demander s’il est « beau » ou pas, or rien n’est plus complexe que cette question. C’est moins le problème de la beauté qui nous préoccupe ici que de savoir ce qui fait paysage, de savoir ce qui peut être considérer comme paysage, c’est-à-dire digne d’être regardé et distingué du cadre de vie habituel.
Je voudrais à présent aborder la question du merveilleux en littérature, en particulier l’influence qu’ont pu avoir sur moi les contes et légendes lus dans l’enfance ainsi que les écrits des auteurs que l’on range souvent dans l’école du réalisme magique, à savoir Henri Pourrat, André Dhôtel et Henri Bosco
Voici ce que dit Allo-ciné de ce film : « Hana et ses deux enfants, Ame et Yuki, vivent discrètement dans un coin tranquille de la ville. Leur vie est simple et joyeuse, mais ils cachent un secret : leur père est un homme-loup. Quand celui-ci disparaît brutalement, Hana décide de quitter la ville pour élever ses enfants… »
Ce livre, « De jardin en paysage, l’écologie des origines », traite de la question du paysage et de la nature vue, entendue et ressentie de diverses façons.
cet article étudiera le jardin militant comme forme de renouvellement des liens de solidarité entre les gens d’un quartier et au-delà, le jardin comme point de départ et aboutissement du lien social et des formes, multiples, d’entraides.