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une visite dans un jardin d'une villa abandonnée, sur les pentes de la Croix- Rousse, à Lyon, un jardin à la végétation foisonnante et luxuriante, mystérieux et secret, et surgit là, un jour de canicule, un peu par enchantement.
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Le souvenir d’une promenade au parc au printemps, comme souvenir d’une promenade au paradis, dans un paradis verdoyant et ombreux, immergée dans les chants des oiseaux.
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Se demander en quoi et pourquoi le village d’Yzeron devient particulièrement attractif pour les lyonnais, au tournant du XIX ème et du XXème siècle, c’est se poser la question de ce qui fait qu’un paysage puisse paraître digne d’intérêt et même de ce qui fait qu’un paysage puisse apparaître en tant que tel, aux yeux de ceux qui le regardent.
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Je suis perpétuellement à la frontière entre deux mondes, amante de la lune, je voue aussi un culte à l'astre solaire. Je suis une nomade, une métis, un pied dans le monde des songes nocturnes, un pied dans l'univers des rêves diurnes, un témoin et souvenir de l'au -delà du miroir, de l'au-delà de la réalité quotidienne, un être hybride, fait de féerie et d'humanité.
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A la lune, maîtresse de mes nuits, rêverie de mes jours, je voudrais dédier cette ode, ce chant d’amour, comme un amant passionné en adresserait un, à une amante, dont il serait tendrement épris.
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Pour moi, toute photographie est une quête, une recherche, une méditation sur cet objet insaisissable, multiforme et évanescent, la lumière. L'heure bleue est de ce ces moments, où la lumière se pare de magie, et apparaît de nature à faire surgir toutes sortes d'enchantements et de sortilèges.
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Je souhaiterais consacrer cet article à un photographe parmi les plus grands, selon moi, Didier Jallais. Didier Jallais, mieux peut être que tout autre photographe, sait capturer et magnifier à la perfection ce qui fait l’essence de cet art, à savoir la lumière.
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On pense souvent que le merveilleux et l’extraordinaire ne peuvent venir que de contrées très lointaines et inexplorées. Cependant, il est possible de connaître aussi l’inouï, à côté de chez soi et de découvrir du merveilleux, dans un quotidien que l’on pensait pourtant bien connaître.
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Je désirerais, dans cet article, montrer en quoi le domaine du merveilleux et le domaine de l’érotisme peuvent se rapprocher et être complémentaires, chacun bénéficiant de l’apport de l’autre.
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De l'influence du prénom et de l'histoire familiale et personnelle dans le choix d'une activité, ici la photographie, "écrire avec la lumière", ce qui n'est pas sans rappeler l'origine de mon prénom, Lucile, qui vient du latin lux, "Lumière".