Blog suivi par 6 abonnés

Le blog de Marc Delouze

Ecrivain
Paris/Fécamp - France
À propos du blog
la voix du poème est fort peu écoutée, alors qu'elle travaille au coeur de la langue, et résiste à la tyranie communicante... min blog ne chante pas "pour passer le temps", comme disait certain poète
  • I HAD A DREAM

    Par | 3 recommandés
  • "80" - Des portes de Bergen-Belsen à celles du bar  Le Tout Va Bien

    Par
    1945-2025: l'histoire d'un monde qui nait et qui meurt, à la mesure d'une vie individuelle...
  • L’Inquisition à la portée de tous Ou Le Petit Goebbels Illustré

    Par | 4 recommandés
    Washington. Février 2025. Un logigramme a été envoyé aux responsables des programmes scientifiques de la Fondation Nationale pour la Science, leur intimant de  « couper » tout financement dès lors qu’apparait dans la présentation d’un projet, ou son titre, ou son résumé, l’un des mots suivants :
  • Lune noire

    Par | 2 recommandés
    poème écrit dans les heures qui ont suivi l'éléction américaine
  • A mes ami(e)s Américain(e)s

    Par | 1 recommandé
    5 novembre 2024… Une claque d’obscurité nous a laissés sans voix.
  • DIRE CE QUE JE N'OSE

    Par | 3 commentaires | 2 recommandés
    Un viol comme un autre trente ans… Ce qui s’est passé n’en finit pas de se passer. Ne passe donc pas. Ne doit pas passer. Tant que les mots des hommes ne trouvent pas la force de se poser dessus. On dit Les femmes parlent. Mais qu’en est-il des paroles d’hommes ? On entend Moi, je ne suis pas comme ça. Qui pour en témoigner ? Que celui qui n’a jamais violé me jette sa première certitude.
  • DIRE CE QUE JE N'OSE

    Par
    Il y a trente ans… Ce qui s’est passé n’en finit pas de se passer. Ne passe donc pas. Ne doit pas passer. Tant que les mots des hommes ne trouvent pas la force de se poser dessus. On dit Les femmes parlent. Mais qu’en est-il des paroles d’hommes ? On entend Non pas moi, je ne suis pas comme ça. Qui pour en témoigner ? Que celui qui n’a jamais violer me jette sa première certitude.
  • De guerreS lasse

    Par
    De guerres lasse Un an déjà. Un an de trop. Voilà un an ces trois poèmes surgis comme des blessures de la parole. Depuis, chaque jour, ces trois poèmes, sans fin, s’écrivent. Depuis, aucun poème ne peut venir : à quoi servirait de se répéter quand chaque jour le même pire se produit ?
  • Regarde où tu mers les pîeds

    Par | 1 commentaire
    Quand surgit la bête immonde...
  • Des poètes et des abattoirs

    Par | 1 commentaire
    Quand les poètes jouent les redresseurs de tort en ajourtant à la confusion.