Je continue de charger mon son sac à dos pour marcher dans le passé comme ici de Gentioux Pigerolles au Mont Gargan afin de m'ouvrir de nouveaux horizons.
Après avoir lu récemment le livre d’Émilienne Eychenne et bizarrement, le topo-guide de Georges Véron, la découverte de cette dramatique espagnole en 1938 a balayé ma vision angélique du territoire pyrénéen !
Cette façon d’appréhender ces rencontres chanceuses, je les ai compilées avec ces montages. Le Lider Maximo de la Txapela Taldea m’a souvent dit : «Etché, tes photos parlent bien mieux que tes écrits! »
Alors lorsque j'entends les descendants actuels, issus de la dégénérescence pétainiste, s'exprimer, ils et elle me donnent envie de vomir lorsque je lis l'âge des gamins qui se sont fait tuer pour que nous puissions vivre la Liberté en paix ! .
J'ai eu de la chance d'en boire un fameux car un de des grands oncles avait une métairie dans le coin et Tatie Berthe, l'adorable sœur de ma grand-mère m'en servait une fois que j'avais fini de bêcher le jardin, mais je en m'étais jamais arrêté !