Le blog de Marc Etxeberria Lanz

Jean Jaurès va se rapprocher de mes camardes anarcho-syndicalistes dans les années 1905 - 1906

Ce billet raconte la concrétisation hasardeuse d'une histoire qui s'est mise en marche en s'affranchissant de l'absurdité de la norme, il y a de cela 30 ans. Et cette anomalie se poursuit encore aujourd'hui !

Pour répondre à cette question, il faut d'abord être un inconditionnel de la randonnée. Pour ensuite se demander à quoi peut bien correspondre ce concept bizarre de liberté assistée ? GPS ou carte IGN ? Allons voir ce dilemme de plus près.

Les miennes débutent en 1871 sur les hauteurs de Montmartre à Paris et finissent en 1921 à Kronstadt en Russie socialiste. Comme d'habitude c'est la marche reclusienne qui m'a inspiré ce billet. Et ça tombe bien puisque les deux foyens Élie et Élisée Reclus furent des communards ou des communalistes !

Dans son livre, L'étrange défaite, Marc Bloch écrit : "un jour viendra, tôt ou tard, j'en ai la ferme espérance, où la France verra de nouveau s'épanouir, sur son vieux sol béni de tant  de moissons, la liberté de pensée et de jugement." Et c'est toujours d'actualité !

15 octobre 2020 - Médiathèque de Tarnos – 19 heures. Ce soir-là, le conférencier s'appelle Jean-Jacques Taillentou. Il présente son travail qu'il a consigné dans un livre qui s'appelle la Petite histoire des Landes.

Alors comment encaisser le choc violent de la rivière qui dévoile sa beauté paysagère du côté de Saint Junien et son horreur figée à Oradour sur Glane ? En marchant tout simplement le long de la Glane

Départ devant la grille du parc de Baillet en France que nous visiterons au retour de notre randonnée, avec un historien spécialiste du site : Jordi.

Entre géographie et histoire, l'Aisne hésite entre la beauté de ses paysages et la complexité de son histoire lessivée par la guerre 14-18. Et profitons-en pour saluer Jean Mi  car c’est lui qui m’a fait connaitre l’Union pacifiste.

C’est la question que je me suis posée à quelques jours de l'ouverture de la coupe du Monde pour savoir si mon désamour pour ce sport était dû à une dérive négative, conséquence d'une professionnalisation à outrance ou à une orgie d’images sans intérêts ?