Je continue de charger mon son sac à dos pour marcher dans le passé comme ici de Gentioux Pigerolles au Mont Gargan afin de m'ouvrir de nouveaux horizons.
Je ne peux poster de photos de la petite taiwanaise pour respecter le choix de ses parents alors j'en profite avec les deux autres petits-grands Kréolisés !
Nous somme partis découvrir ce lieu avec nos trois petits enfants. Et là fabuleux avec cette rencontre du hasard. La petite discute en taiwanais, j'ai bien dit en taiwanais. La grande en anglais avec deux jeune filles en vadrouille dont une apprend le français. Quant au petit mec, il apprivoise les écureuils avec un spécialiste du tai-chi !
Patxi nous a tracé un jeu de pistes farci de Streets Views que j'ai compilés dans ces montages. Nous l'avons refait avec toute la famille en villégiature ! Exceptionnel !
D'où vient cet intérêt pour cet auteur ? Comme d‘habitude un enchaînement de concours de circonstances éclaira le chemin lorsqu'il s'était enfin éloigné des fausses certitudes et des avalés formatés tout crus ! Allons à la rencontre de Simon Leys ...
Ici à Taïwan, apres trois semaines intenses, je me suis posé pour revenir sur ces auteurs parfois oubliés. Ce premier épisode débute en compagnie de Michel Ragon, Maurice Rajsfus, Hannah Arendt et Vladimir Jankélévitch signera la conclusion de cette réflexion.
Tout simplement comme tout un chacun ici à Bidache ! Cette étonnante aventure s'est déroulée en quatre actes lors de randonnées à Bidache ou autour de sa voisine Came
Alors pourquoi un billet avec un titre aussi bizarre ? J'explique : lors d'un match de rugby à la Fougère, un supporter basque, s’adressa au père du demi de mêlée d’Anglet en le menaçant de lui en coller une : “ Moi je suis basque, de l’intérieur des terres ! "
Ce qui veut dire pour les béotiens de la beuchigue : toi, tu n'es qu'un surfeur de la côte donc tu n'es pas un vrai basque !