Le Festival du Cinéma de Turquie, proposé par « l’Assemblée Citoyenne des Originaires de Turquie » (ACORT) présentait cette année, une semaine consacrée à l’Anatolie. Le documentaire d’Ayşe Polat (2), tourné à Çatak, raconte la vie des Arméniens dont les descendants sont aujourd’hui appelés « Les Autres ».
C’est pour Ahmet Altan, écrivain et journaliste condamné à la prison à vie en Turquie qu’Asli Erdogan était présente ce 17 septembre, à la Mairie de Paris, à l’initiative de l’association Les Nouveaux Dissidents avec Aysegul Sert (journaliste, reporter au New York Times), Timour Muhidine (directeur de la collection « Lettres turques » chez Actes Sud), et Guillaume Perrier, journaliste au Monde
Le cimetière arménien de Gezi à Istanbul a fait l'objet de nombreuses tractations depuis sa création en 1560. Aujourd'hui, il n'en reste que les arbres, ceux-là justement que M. Erdogan voulait faire abattre.
Le formidable élan qui engagea l’Amérique entière commença avec une poignée d’hommes de bonne volonté. Pour mener à bien l’appel à la générosité des Américains, leur communication s’appuya sur de multiples ressources : publicité, défilés, campagnes, affiches illustrées, photos, films, implication de stars…
Le Festival du Cinéma de Turquie, proposé par « l’Assemblée Citoyenne des Originaires de Turquie » (ACORT) présentait cette année, une semaine consacrée à l’Anatolie. Le documentaire d’Ayşe Polat, tourné à Çatak, raconte la vie des Arméniens dont les descendants sont aujourd’hui appelés « Les Autres »