C'est en lisant cet article de Roberto Saviano que ce billet est arrivé, alors que j'étais, une fois sur deux, engluée dans la double approche : laliberté d'expression, oui / ou / oui…. mais, tenons compte de … ?
Sentiment répandu et débilitant d'un pays qui vadrouille comme un radeau, d'un gouvernement qui remplace le gouvernail par les froncements de sourcils du capitaine et de son second, et quelques « éléments de discours ».
Chers amis journalistes de Médiapart, le journal, par vos plumes, nous aide bien souvent à nous repérer dans la situation complexe et alarmante de notre pays, car comprendre et faire des liens sont des outils de la démocratie, manière de donner du sens à nos désirs d'échapper aux sirènes hurlantes de T.I.N.A. (There is no alternative).
Madame la Ministre, J'ai apprécié le signe explicite que vous avez fait à la lutte anti-corruption en France par votre présence à la soirée du 19 octobre « La corruption, ça suffit ». Le chemin est semé d'obstacles politiques et économiques, d'empêchements puissants, et requiert de notre part une grande vigilance.
Grande trouvaille au secours des femmes :Mesdames, vous souhaitez faire carrière, vous avez bien mesuré qu'on ne peut, à la fois, se consacrer à son entreprise, lui vouer corps et âme, et fonder une famille, surtout que monsieur est lui même sur le pont (de l'entreprise, son dieu, son cap).
Nous lisons beaucoup de choses sur les élections présidentielles au Brésil ce dimanche 5 octobre, mais bien peu sur celle du 12, qui vont se dérouler en Bolivie (pas plus que celles du 26 en Uruguay !).