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Le blog de Moïse Assouline
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Articles d'éditions
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Édition Contes de la folie ordinaire
Autisme en 2021: pour les petits, enfin les plateformes!
Les Plateformes d'orientation et de coordination qui doivent coordonner des soins alors garantis entre 0 et 6 ans, commencent à se mettre en place. Cette obligation réglementaire est un atout incomparable pour améliorer l'avenir des enfants souffrants et prévenir des surhandicaps. Par Moïse Assouline et Pierre Vienot. -
Édition Contes de la folie ordinaire
Autisme, psychiatrie et post épidémie : un enjeu de la protection sociale en 2020
En septembre 2013, j'écrivais dans Mediapart : « Autisme : l’enjeu de la protection sociale ». Je reviens sur ce sujet aujourd’hui, soulignant que dans le contexte de l’épidémie de Covid 19, dans le post confinement, les soignants de psychiatrie et les accompagnants des TSA (Trouble du Spectre de l'Autisme) ne doivent pas accepter un jour de plus la posture passée, menaçante ou méprisante, de certains représentants de l’État ou de ses agences. Mais pour cela ils doivent être capable de combattre leur propre corporatisme. -
Édition Contes de la folie ordinaire
Autisme en 2019: «Hors Normes» et la norme
Dans le film de Toledano et Nakache, il n’y a pas de ligne de fracture entre le « hors normes » et la « norme », qui séparerait d’un côté les chevaliers blancs galopant hors des clous et des représentants de l’ordre figés dans leur administration ou leur service. Je peux témoigner que, parfois, dans la vraie vie aussi. -
Édition Contes de la folie ordinaire
Plan autisme en 2019: Mme la ministre, parlons justement de la psychiatrie
En réponse à Sophie Cluzel qui affirme qu'«on ne doit plus mettre un autiste devant un psychiatre», Moïse Assouline, représentant de la Fédération française de psychiatrie au conseil national des troubles du spectre de l’autisme l'invite notamment à recenser le nombre des personnes accueillies « par défaut » en psychiatrie, après une spirale d’exclusions de tous les autres champs. Il l'invite aussi à valoriser la pédopsychiatrie dans des écosystème d'inclusion en réseau, qui donne déjà des effets salutaires et encourageants. -
Édition Contes de la folie ordinaire
Autisme, mensonge et politique en 2016
Depuis 2010, en matière d'assistance apportée aux autistes, des politiques dépendent de la communication de certaines associations voire de leurs agences privées. Une mesure apaisante et ferme, régulatrice et démocratique pourrait être appliquée pour éviter les anathèmes et les scissions. -
Édition Contes de la folie ordinaire
Autisme (3/3). Pour une mise à jour de la diversité clinique
Troisième et dernier volet de cette série d'articles autour du rôle de la psychiatrie aujourd’hui dans l’accompagnement de l’autisme et des troubles envahissants du développement (TED). -
Édition Contes de la folie ordinaire
Autisme (2/3). Y a-t-il un impérialisme du soin dans les services?
Deuxième volet de cette série de trois articles autour du rôle de la psychiatrie aujourd’hui dans l’accompagnement de l’autisme et des troubles envahissants du développement (TED). Il y a une grande variété dans les soins : ceux qui sont somatiques, corporels ou sensoriels, et tous impliquent des compétences très variées. -
Édition Contes de la folie ordinaire
Autisme (1/3). Un arrière-fond historique aux critiques contre la psychiatrie et la psychanalyse
Il y a un écart entre le rôle joué par la psychiatrie et la psychanalyse dans l’accompagnement des personnes autistes, en réalité très partiel, et la représentation dominatrice qu’en donnent certains de leurs partisans ou leurs adversaires. Aussi, ces deux disciplines, bien qu’elles soient distinctes et traversées chacune par divers courants, entretiennent chez des parents la crainte d’une emprise corporatiste au détriment des parcours de vie de leurs enfants. -
Édition Contes de la folie ordinaire
Autisme : nouveaux arbitrages, vieilles méthodes et maltraitance
Longtemps, les autistes pouvaient être exclus par l’ancienne loi sur l’éducation (de l’école) et ils relevaient alors des prestations de la loi hospitalière (des hôpitaux) ou de la loi sur le handicap (des services médico-sociaux). De ce fait, les ruptures de parcours dues à des exclusions par des centres étaient fréquentes. Elles étaient déguisées en renvoi des personnes par des établissements relevant d’une de ces lois vers ceux qui dépendaient d’une autre. En particulier nombre d’adolescents, mais aussi de « cas complexes » quelque que soit leur âge, ne trouvaient jamais « le bon guichet ».