L'IA générative détourne l'audience des médias. La chute du trafic et des recettes publicitaires érode le modèle économique du journalisme. Cette captation par les plateformes menace la production d'information originale et la survie d'un web ouvert, essentiel à notre compréhension du monde.
Par N Smyrnaios
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Le virage néonazi de Grok, le chatbot d'Elon Musk, n'est pas un bug, mais l'aboutissement prévisible d'un alignement « anti-woke ». En se déclarant « MechaHitler », il révèle la vraie nature de ce mouvement : un rebranding de l'idéologie suprématiste blanche, soulignant les dangers d'une IA dérégulée.
En Grèce, le gouvernement Mitsotakis met en œuvre une stratégie de contrôle sur l'information dans un contexte de mécontentement public et de scandales. Des actions récentes, comme la fermeture d'Attica TV, la révocation de licence pour Dimokratia FM et l'encadrement des créateurs YouTube, soulèvent des questions sur le pluralisme médiatique et la liberté d'expression déjà limités dans le pays.
L'IA de Google, comparée à l'électricité par son PDG, redéfinit le web. Avec les AI Overviews et le mode IA, la firme menace le trafic des créateurs de contenu et la diversité de l'information. S'agit-il d'une révolution transformatrice ou de la mort du web et de ses communs numériques ? Un enjeu capital pour l'avenir.
Les géants de la tech Google et Meta sont sous pression à Washington, tandis que l'Europe muscle sa riposte numérique. Un bras de fer aux enjeux colossaux pour l'avenir de l'industrie du numérique à l'ère de Trump.
Dix ans après l'espoir suscité par Syriza, la Grèce reste engluée dans une crise profonde. Entre inégalités croissantes, chômage persistant, corruption endémique et modèle économique fragile, la colère gronde. La tragédie ferroviaire de Tempe symbolise un système politique défaillant, alimentant l'exaspération populaire et les craintes d'une dérive autoritaire.
Alors que la Silicon Valley incarnait autrefois l’avant-garde progressiste alignée sur le Parti démocrate, désormais les élites technologiques trouvent dans le camp de Donald Trump une protection contre ce qu’elles perçoivent comme des menaces existentielles. Plongée au cœur de ce basculement historique.
Les récentes annonces de Mark Zuckerberg marquent un tournant dans sa stratégie. Entre suppression des fact-checkers, levée des restrictions sur les discours controversés et rapprochement avec Donald Trump, ces mesures suscitent de vives interrogations. En quête d'influence politique et économique, Meta redéfinit ses priorités au détriment de la lutte contre la désinformation et la haine en ligne.