Olivier Favier
Journaliste, traducteur, auteur.
Paris - France
Sa biographie
Historien de formation, je suis journaliste indépendant, traducteur théâtral et littéraire, interprète et auteur. J'anime le site dormirajamais.org. J'ai dirigé en 2021 avec Federica Martucci le treizième cahier de la Maison Antoine Vitez, 1990-2020 le théâtre italien en résistance (Editions théâtrales).1…
J'ai publié le livre Chroniques d'exil et d'hospitalité, vies de migrants, ici et ailleurs (Le Passager clandestin, 2016).
Son blog
50 abonnés
INSOMNIES
- 47 billets
- 0 édition
- 0 article d'éditions
- 0 portfolio
- 1 lien
- 0 événement
- 42 contacts
Ses billets de blog
Voir tous-
« Girls for tomorrow » : saurons-nous être fort·es et fragiles ?
Après Les Ensortilèges de James Ensor (2011), Pôle Emploi ne quittez pas (2014), Like dolls I’ll rise (2018), Restituer ? (2021), Nora Philippe retrace avec Girls of tomorrow, en sortie nationale le 10 décembre, la fresque d’une décennie d’espoirs dans un État moralement failli. -
Lettre ouverte d’un père à Monsieur Philippe Mahé, Préfet du Finistère
Par la présente lettre, je requiers une solution pour l’obtention d’un titre de résident, en attente de la nationalité française, pour mon fils adoptif Souleymane Diaby-Favier, ex-mineur non accompagné résidant en France depuis 2016, et livré depuis à un improbable parcours du combattant administratif, dont ni lui ni moi ne percevons les fins. -
Mohamed Zampou, pompier avant l'heure, attend d'être français
Le jeune homme accroché au deuxième étage d’un immeuble en flammes dans le quartier de la Bottière à Nantes, le 28 mars dernier, s’appelle Mohamed Zampou et il a vingt-trois ans. Il vit dans notre pays depuis huit ans et attend depuis quatre de devenir français pour pouvoir accomplir son rêve : entrer chez les pompiers. -
À Calais, des migrants meurent aussi (reportage)
-
La Sœur des réfugiés à l'église Saint-Bernard.
Le presbytère, situé au 6, rue Saint-Luc, accueille depuis quatre ans une huitaine de réfugiés. La durée de séjour varie entre 1 et 4 mois. Tous ont une demande d’asile en cours, validée par la préfecture, mais pas encore de logement.