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Il se dit, tiens ben, voilà un discours qui va susciter des réactions, et que dalle! Ni recommandations (là c'est prévisible) ni commentaires. Bon ben tant pis se dit le sophiste, la prochaine fois que tu souhaiteras susciter les réactions, essaie de te montrer plus habile.
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Les promoteurs et défenseurs de la “sécurité informatique” sont des salauds, et des cons. Des salauds car ils ne manquent jamais de se ménager des “failles de sécurité”, des cons car ces “failles” sont disponibles pour tous, en premier ceux contre lesquels ils disent œuvrer en promouvant cette illusoire “sécurité informatique”, en second ceux contre lesquels ils croient œuvrer.
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Deux exemples parmi bien d'autres pour illustrer le fait.
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Le spencérisme est dans le vrai, le dessein intelligent est dans le vrai, le darwinisme est dans le vrai, l'écologie est dans le vrai, la cybernétique est dans le vrai, mon tout est dans l'erreur. Car le vrai est dans l'erreur, autant que le faux.
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Je dis ça sans savoir vu que je n'ai pas vérifié, mais s'il est toujours vivant (ce dont je suis certain) et toujours abonné à Mediapart (là on ne peut jamais savoir), c'est sûr qu'il ne va pas oublier de nous offrir notre calendrier de l'Avent! Sinon, il se ferait révolvériser…
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Je me suis récemment fait remonter les bretelles pour avoir intitulé un billet «Corps et Esprit» sans trop y causer de corps et d'esprit, moins encore de Corps et d'Esprit, et pas non plus de la Question des Origines, ni de la Finalité, ni de Dieu. Pour me racheter, un billet intitulé «L'Âme, l'Esprit, le Corps» qui discutera du coût de la vie.
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Je ne sais pas s'il y aura une version longue de ce billet, on verra.
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Je ne peux pas dire que je me pose la question de longue date, en revanche j'ai la réponse de longue date: il y a des livres inutiles. Mais ce n'est que récemment que je me suis proprement posé la question. Et je n'ai pas de réponse certaine.
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Si je disposais d'un peu de thunes, dans les quatre ou cinq cent mille euros, ou pour me faciliter la tâche, dans les quatre ou cinq millions, pas plus – autant dire entre rien et presque rien – je m'essaierais à changer la réalité. Enfin, je ne m'y essaierais pas plus qu'actuellement, mais avec un peu plus de facilité, voire d'efficacité.
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Il me semblait que j'avais déjà utilisé ce titre de billet et c'est le cas. En vérifiant cela j'ai découvert quatre autres billets comportant le mot «changer» dans leur titre, et me suis aperçu qu'ils semblent former un ensemble. Les apparences étant trompeuses, je ne l'assure pas; comme il faut se fier aux apparences, j'affirme qu'ils le forment.
