Ouin, Ouin ! Sortez vos mouchoirs ! Invitée au journal de 13 heures de TF1 aux côtés de « DD le besogneux », le sélectionneur de l’équipe de France de foot qui en a profité pour annoncer qu’il laisserait en 2026 la place à « Zizou l’artiste », « The First Lady » a lancé l’opération « Je m’en vais sauver mon p’tit chéri » au moment où sa cote de popu est au plus bas (17% d’opinion favorable) !
Revenu du « Fort de Brégrandcon » où il a fêté la nouvelle année avec ses gardes du corps, le foutriquet s’est empiffré de galettes des rois (sans fève) et de Ferrero Rochers devant les ambassadeurs en leur jurant qu’il faut bomber le torse devant Trump alors qu’il se fait piétiner par l’Algérie et que son armée a été foutue à la porte de l’Afrique sans le moindre remerciement.
Alors que plus de 60 % de Français souhaitent sa démission, , le petit Monarque t’a annoncé lors de ses vœux 2025 qu’il compte te solliciter pour « trancher sur des sujets déterminants » t’assurant que « tout le monde aura un rôle à jouer » ! (Si, si même toi !)
Fuck la journée de deuil national, fuck les Mahorais ! Après moult atermoiements du couple à la tête de l’exécutif (?), l’éminence très grise de l’Élysée égrène les noms du new gouvernement juste à temps pour ton petit Noël !
Macron à Mayotte criant « c’est pas moi le cyclone »
Macron à Mayotte arborant une écharpe (colorée) pour faire local puis étreignant une femme en lui promettant qu’il ne la lâchera jamais !
Macron à Mayotte en bras de chemise (blanche) piquant une grosse colère (feinte ?) devant une foule réclamant sa démission !
Lors de son discours d’intronisation à Matignon, le grand ami d’Henri IV avait dit : « Enfin les ennuis commencent ! » Avec son bilan redouté de plusieurs milliers de morts, les images apocalyptiques post-typhon à Mayotte viennent bousculer l’agenda du nouveau PM persuadé d’être le seul à pouvoir résoudre l’équation politique nationale !
En bon petit maître des horloges montrant qu’il « reste bien au centre du game », Manu a fait durer le suspense et étirer le temps façon chewing-gum pour nommer son 6ème locataire de Matignon dont nul ne connaît la durée du bail.
« Bonjour je m’appelle Emmanuel et je suis dépendant au pouvoir. J’exercerai pleinement le mandat que vous m’avez démocratiquement confié jusqu’à son terme », a-t-il assuré dans son dernier partage (anormalement court) avec la Nation.
La vie politique française suspendue au pouce baissé de « Marine double peine » ! Encore bravo Maestro pour cette dissolution si clarifiante décidée avec une poignée de conseillers pour empêcher une censure du budget à l’automne !