Le chemin extrêmement violent et plein de désespoir qu’a adopté le régime de Maduro, qui met en évidence aux yeux du monde entier sa condition de dictateur, face à l’exercice citoyen d’exercer son droit constitutionnel à la proteste, pour exiger le respect de la Constitution, face à la détérioration de la qualité de vie de tous, met en danger la très précaire paix sociale du Venezuela.
Une famille a besoin de 21 smic par mois pour faire ses courses.
Le pays subit une économie de guerre causée par les mauvaises politiques prises d’abord par Hugo Chávez et ensuite par Nicolás Maduro, qui provoquent la crise humanitaire que nous vivons aujourd’hui.
Un groupe de dix médecins de l' " Instituto Autónomo Hospital Universitarios de los Andes" ont démarré une grève de la faim le 23 mai dernier, en signe de protestation contre la grave crise de santé que vit le Venezuela.
Dans ces conditions là, il ne peux pas être président du Venezuela, il doit être destitué, et être jugé avec ses complices et payer pour tous ses crimes
Dans un contexte dans lequel l'impossibilité d’acheter des dollars oblige les industriels à paralyser leurs usines, pour manque de matière premières, équipement ou pièces de rechange, le président Nicolás Maduro détecte une nouvelle opportunité pour augmenter d’un cran ses menaces:“usine arrêtée, usiné confisquée” menace-t-il le 14 mai dernier lorsqu’il “allumait le moteur de l’économie communale”
Mi 2014, lorsque Nicolás Maduro avait réussi a éteindre avec une brutale répression la vague de protestations appelée “La Salida”, son régime à commencé à discuter d’un programme de mesures pour remédier à la crise économique qu’il était déjà impossible de nier.
Le lundi 16 Mai a été publié le Décret N 2323, qui déclare “l’État d’Exception et d’Urgence Économique”. Nous sommes ici face à un nouveau Décret d’État d’Exception et non face à un prolongation de l’antérieur qui est arrivé à terme vendredi dernier.
La meilleur manière d’évaluer la gestion d’un leader, est d’analyser ses critiques envers le système politique et son entourage national et international lorsqu’il était candidat à la présidence, et déterminer si les situations qui étaient à l’origine de ces critiques ont été surmontées ou pas.
El anuncio sobre la firma de un Decreto de Excepción y Emergencia Económica realizado por el Presidente Nicolás Maduro el 13 de mayo, pone en mayor riesgo la ya frágil situación de derechos humanos en el país, dijo hoy Amnistía Internacional.
Le 12 février dernier, lorsque le TSJ lui a accordé les pouvoirs spéciaux que le peuple lui avait auparavant refusé, Nicolás Maduro déclara: “nous allons traverser cette urgence tout au long de l’année 2016 et une partie de 2017, car nous devons récupérer ce pays et refaire complètement le système productif, distributif et commercial ainsi que fixer les prix de tous les produits”