Un petit film que m'a révélé Hugues Rey. Le 13/9, 11000 personnes ont vu le film. La société Kryptonite ne jugeait pas opportun de réagir. Le 17, un journaliste fait un papier sur le sujet dans le New York Times, quelques jours après, 1 800 000 personnes ont vu le film.
Le dillettante a édité un petit roman de Cyril Montana, La faute à Mick Jagger. Outre les 40 ans de 1968, le lire est un plaisir savoureux. Je ne résiste pas à la tentation de deux petits extraits.
Non, ce n'est pas le tiercé dans l'odre. Mais le combat qui se passe entre ses trois candidats illustre bien la direction que doit prendre le marketing des entreprises. Arriver sur un marché fort de son passé et de sa notoriété, comme Madame Clinton, n' affranchira pas une entreprise de l'obligation de rencontrer les passions et les frutrations des gens en gardant une certaine cohérence dans son récit. Parce qu'en plus, effectivement, il faudra que les entreprises aient un récit et plus une simple promesse de vente. Ce qu'Obama offre, c'est cela, une belle histoire, un réinvention du rêve Américain à laquelle les Américains semblent aspirer. Et il fait une tournée sur le sujet. Les entreprises et leurs marques devront également partir en tournée. C'est le prix du 360° utile.