L’écriture implique une capacité à lire. Qui peut écrire ? Qui peut lire ? Qui interprète ?
Comment lit-on ? et qu’en pense-t-on ?
Il me semble que certains blocages contre l’écriture inclusive tiennent plus à une réticence au concept « d’inclusivité » qu’à la difficulté de la lecture.
Ce à quoi je réponds parfois par : « ne t’occupe pas de ma sécurité je vais m’en occuper moi même. »
Quelques éléments rigolos pour alimenter les discussions.
Je propose de traiter le fantasme du plombier.
Sur les média on parle beaucoup de spectacles interdits et de la galère des intermittents et des artistes. Ce sont ces derniers qu’on entend à foison. Pourtant il existe un pan entier de ce phénomène qui semble être oublié : les ouvriers du spectacle.
A chaque fois que j’ai regardé monsieur Macron faire ses allocutions, je me suis aperçue qu’il ne clignait pas beaucoup des yeux. C’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi, qui en ces temps de confinement n’ai pas beaucoup d’activité, ça m’a marqué. Je me suis donc prêtée au jeu : le premier, de nous deux, qui clignera, aura une, tapette. J’ai toujours perdu.