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Le blog de Slimane Ait sidhoum

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Sur le toit des rêves.
Ce roman de Kiyoko Murata intitulé, Le couvreur et les rêves, peut changer le regard des lecteurs sur les artisans en général, dans le sens où, on les considère comme des manuels. -
Sur le toit des rêves.
Ce roman de Kiyoko Murata intitulé, Le couvreur et les rêves, peut changer le regard des lecteurs sur les artisans en général, dans le sens où, on les considère comme des manuels. -
La mémoire du corps
L’ouvrage de Constantin Alexandrakis intitulé, « L’hospitalité au démon », ne laisse pas indifférent, car il traite de la violence faite aux enfants. -
Casamance connexion.
Il n’y a pas mieux que le polar pour sérier les problèmes qui empoisonnent le quotidien des citoyens par ailleurs, il peut aussi donner une photographie réelle d’un pays qui n’est pas sous les feux de l’actualité. -
La brioche de toutes les convoitises.
Parfois certains de nos comportements nous semblent tellement normaux qu’on les croit d’une grande banalité, cependant les autres peuvent les percevoir comme anodins ou carrément dignes de curiosité. -
Un trône sur mesure.
Raconter ses parents est un exercice périlleux car ça oscille toujours entre hagiographie et règlement de compte, donner des exemples ne sert à rien. C’est donc avec appréhension que j’ai entamé la lecture du portrait que consacre Marie Nimier à sa maman et intitulé, Le côté obscur de la reine, paru aux éditions Mercure de France. -
L’atelier d’écriture idéal.
Les gens qui aspirent à devenir écrivains sont très nombreux. Alors, il est toujours conseillé de s’inscrire dans un atelier d’écriture pour perfectionner son art ou se plonger dans les témoignages produits par des écrivains confirmés souhaitant partager leurs recettes. -
Ne tirez pas sur le marionnettiste
On parle beaucoup de la perversité narcissique car elle est devenue la pathologie du siècle. Mais la manière dont elle est abordée dans le nouveau roman de Camille Laurens, Ta promesse, est très pertinente. -
Les flâneries d’un bibliophile insatiable.
Pour aimer une ville, il faut la visiter et connaître son histoire. Partant de ce postulat de base, on peut dire que le pari pris par Mathias Enard de nous faire découvrir Berlin à travers ses pérégrinations a été une réussite totale. -
Alger dans tous ses états.
Tous les gens qui connaissent Alger peuvent la raconter avec délice et gouaille, mais quand elle est dite avec lyrisme par Sébastien Lapaque que complète à merveille les coups de crayon d’un artiste comme Jacques Ferrandez, les yeux ne peuvent que se réjouir. C’est ce qu’on peut constater dans, La théorie d’Alger.
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