Suite à mon engagement dans Chambé Citoyenne, mouvement citoyen de Chambéry pour les Municipales 2020, envie de réfléchir et de partager sur l'expérience citoyenne de la politique
À peine 20h00, dimanche 12 juin 2022, les médias nous présentent des projections basées sur du pifomètre pseudo-scientifique. Or compte-tenu de l'abstention, toute projection en sièges est hasardeuse. Nous sommes en République où les citoyennes et citoyens décident avec des scénarios possibles : oui, la NUPES, comme Ensemble peuvent avoir la majorité. Voici dans quelles conditions.
Alors que les derniers soubresauts des élections municipales se terminent avec les élections des exécutifs intercommunautaires, se profilent les élections sénatoriales le 27 septembre. Le point commun entre ces deux élections est le suffrage indirect : ce sont des « grands électeurs et grandes électrices » qui votent. Que peuvent faire les citoyens et les citoyennes dans cette galère ?
Les élections municipales de 2020 ont donné l’occasion à une nouvelle espèce politique de naître : les listes participatives portées par des collectifs de citoyen-nes. Inspirées par l’expérience de Barcelone et de Saillans, de telles listes se sont présentées dans de nombreuses villes de toute taille. Qu’est-ce qui différencie un mouvement citoyen d’un parti politique ?
Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal Habitat et Déplacements est un cadre légal offert aux agglomérations pour tracer un plan politique sur 10 à 15 ans dans le domaine de l’urbanisme, de l’habitat et des déplacements. Alors que ce cadre est structurant pour le futur des agglomérations, quelle est la place faite aux citoyen-nes pour son élaboration ? L'exemple de Grand Chambéry