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Édition Perform !
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Édition Perform !
Et si en sortant du théâtre, on regardait fébrilement le programme pour savoir quand « sort » la saison 2 ? On est tout excité, que va-t-il se passer entre Nabil, Octave Jacques Pascale et Nathalie tous ensevelis sous les décombres de la maison de retraite ?
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Édition Perform !
La nostalgie de l’avenir d’après la mouette d’Anton Tchékhov.On entend les acteurs chuchoter dans les coulisses, des rires, un texte que l’on reprend , « merde je me suis trompée » soudain un coup de feu, lumière précipitation, des cris et cette phrase Qu’on emmène Irina loin d'ici, son fils est mort.
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Édition Perform !
A voir dans les Livraisons d’été, dernier programme de la saison aux Subsistances, à Lyon. Angéla Laurier est, dans le monde du cirque, l’une de celle qui met sa vie en scène. Une urgence vitale qui la pousse inexorablement à créer des spectacles autobiographiques, qui vont droit au cœur et au corps des spectateurs.
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Alkantara en arabe cela veut dire pont. C'est un quartier de Lisbonne et c'est aussi le nom d'un théâtre et d'un festival biennal dirigé par Thomas Walgrave. Thomas est belge (il est l'un des fondateurs de la compagnie TG Stan ) et n’ a de cesse, depuis son arrivée à la direction de l’Alkantara de construire des ponts qui traversent allègrement la Méditerranée, jusqu’au sud de l’Afrique, tanguent vers le Brésil, filent jusqu’en Belgique en passant par la France et partout en Europe.
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Édition Perform !
Les spectateurs sont placés en gradins dans une petite arène, littéralement collés à la scène. Tout en perruques blanches, faux cils et lèvres fardées, Leila (Georges Edmont) et Maria (Marc Mérigot) s’extirpent d’une boîte, caveau pour morts-vivants. Vieilles folles junkies, elles sont rejointes par Joséphine (Claude Degliame) et Fougère ( Christophe Sauger) pas mieux loties.
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La petite salle de la maison de la poésie est une… toute petite salle. Une cave comme en recèlent les bâtiments du quartier, on y tient serré collé à 40. Et, dans cette petite salle, on passe souvent de grands moments. C’est le cas quand on va écouter Jacques Rebotier nous parler des « ommes » « et de l’extinction durables des espèces », nous déballer « contre les bêtes », un texte écrit il y a dix ans.
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Nous sommes en 2030, La palestine est devenu un pays touristique vide dont toutes les strucutres d’accueil sont chinoises, le Liban est la nation du football grâce à la naturalisation en masse des brésiliens d’origine libanaise « …les salgados brésiliens font partie de notre mezza, la caïpirinhia est devenu avec l'arak et la bière Almaza une boisson nationale». Ce sont les journalistes de l’Orient Express,magazine Libanais de langue française crée dans les années 1990 par Samir Kassir , assassiné en 2005 dans un attentat à la voiture piégée, qui le disent.
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L’intensité d’une suspension, la nature même du théâtre, un moment éphémère, un instant qui ne se renouvellera jamais à l’identique, La mort d’Ivan Ilitch c’est tout cela à la fois. Rien à voir avec le personnage de Tolstoï. Le titre est beau comme le spectacle.
© Pierre Grosbois Et si en sortant du théâtre, on regardait fébrilement le programme pour savoir quand « sort » la saison 2 ? On est tout excité, que va-t-il se passer entre Nabil, Octave Jacques Pascale et Nathalie tous ensevelis sous les décombres de la maison de retraite ?
La nostalgie de l’avenir d’après la mouette d’Anton Tchékhov.On entend les acteurs chuchoter dans les coulisses, des rires, un texte que l’on reprend , « merde je me suis trompée » soudain un coup de feu, lumière précipitation, des cris et cette phrase Qu’on emmène Irina loin d'ici, son fils est mort.
A voir dans les Livraisons d’été, dernier programme de la saison aux Subsistances, à Lyon. Angéla Laurier est, dans le monde du cirque, l’une de celle qui met sa vie en scène. Une urgence vitale qui la pousse inexorablement à créer des spectacles autobiographiques, qui vont droit au cœur et au corps des spectateurs.
Jacques Couzinet L’intensité d’une suspension, la nature même du théâtre, un moment éphémère, un instant qui ne se renouvellera jamais à l’identique, La mort d’Ivan Ilitch c’est tout cela à la fois. Rien à voir avec le personnage de Tolstoï. Le titre est beau comme le spectacle.