
Vidal Cuervo
Militant libertaire
Sa biographie
Études de sociologie et philo à une époque où ça n'avait sans doute plus grande portée ni sens, mais où j'ai engagée une foi juvénile encore active
Fourvoyé trop longtemps dans le monde de l'entreprise
Musicien, poly-instrumentiste comme on est pervers polymorphe, médiocre mais enthousiaste
Plumitif…
parallèle, hors circuit pour raison de paresse à brosser le système dans le sens du poil, strictement amateur, collabore à Alternative libertaire depuis près de 20 ans et à Ballast, une paire de fois
Lecteur compulsif
Photographe généralement sérieux
Père attendri au point du gâtisme
"Tu choisiras la vie" (Deut. 30:9)
Son blog
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De qui Macron est-il l’ami ?
violence policière à Marseille 23/12/2022 © Vidal Cuervo
Les Kurdes de Marseille, ceux et celles qui ont trouvé à se libérer de leur travail ou de leurs obligations, se sont rassemblé·es. Pour dire à leur pays d’accueil qu’ils attendent justice, pour se réconforter. Nous débouchons à l’angle de la Préfecture. Les flics ont formé un cordon de CRS, flanqué d’éléments de la BAC. En une minute, c’est joué. Pas assez qu'on assassine les Kurdes, encore faut-il continuer de faire faire le boulot d'Erdogan aux mains de la police française. -
Métaphore physiologique - de la Russie et de la rupture
Les massacres russes en Ukraine rajoutent à l'unanimité anti-russe. Pourtant aucune des politiques en cause - Occident-OTAN, russe, Ukrainienne - n'est innocente de quoi que ce soit, mais toutes coupables. Comme nous le sommes toustes de confirmer par notre participation à ce monde qu'il perdurera tant que nous ne le quittons pas politiquement. -
Du rififi à Paname ou main-basse sur l'antifascisme
Allons-nous encore une fois nous saboter pour de minables histoires de pouvoir, tandis que la maison brûle ? ou profiter de la montée du fascisme pour remobiliser la société, en bas et à gauche ? -
De quoi cette police est-elle le nom?
Démocratie « pompeuse » et « droit de regard » sur la marche de la justice : parce qu'elle pèse désormais sur la direction de la politique pour servir ses fins ultimes que sont la répression et l'usage monopolisé de la violence, la police est en mesure d'être à elle-même sa propre fin. La police est désormais le nom de la gouvernance qui vient. -
Mises au point
le pendu du tarot de Marseille
La guerre, c'est la paix. La paix, c'est la guerre. Orwell a parfaitement montré qu'un mot, prononcé par le politique, veut toujours dire son contraire. Lieux communs et mensonges ordinaires du pouvoir.