À partir du constat de la disparition récente d’une centaine de festivals en France, Jacques Cheminade propose d’augmenter le budget du Ministère de la culture à 2% du PIB. L’axe principal de ses propositions pour la culture est le développement d’une culture de proximité pour combler les déserts culturels.
Le NPA milite donc pour une “transformation révolutionnaire de la société”. Dans leur section Information & culture, la concentration médiatique et la marchandisation de la culture sont dénoncées. Pour soustraire la culture à l’ordre marchand et de fournir son accès gratuit à tous et à toutes, Philippe Poutou affirme vouloir accentuer la politique de l’exception culturelle.
A l’image de nos voisins européens et de leurs partis centrés sur un discours anti-UE (AfD pour l’Allemagne, Ukip pour l’Angleterre), on peut imaginer que l’UPR développe un propos essentiellement limité à la défense de la souveraineté française par un retour à l’”indépendance”. Dès lors, y-a-t-il une place pour la culture dans le projet de François Asselineau ?
La campagne #AuxSons a pris le soin de d'analyser les programmes culture des candidats à la présidentielle 2017. Aujourd'hui nous nous intéressons à celui de Nicolas Dupont-Aignan, candidat de droite.
La culture selon la candidate du Front National n’apparaît ni comme un vecteur émancipateur de l’individu ni comme une priorité de l’éducation mais comme un outil de puissance, de défense de l’«identité nationale» et d’influence de la «civilisation française».
{réédition 23.03} Le candidat du parti Les Républicains vit une campagne houleuse, où sa légitimité même à candidater à l’élection présidentielle est remise en cause. Si l’on écarte les nombreux scandales qui ternissent sa campagne et nuisent au débat de fond sur ses idées politiques, que nous dit François Fillon de son programme ? Et plus spécifiquement, qu’en est-il de son programme culturel ?