L’éclatement de l’opposition après la désignation de Martin Fayulu pour la présidentielle rebat une nouvelle fois les cartes, alors que chaque candidat croit encore en ses chances de gagner les élections.
Stéphane Audoin-Rouzeau et André Burguière, historiens à l’École des hautes-études en sciences sociales (EHESS) de Paris appellent à boycotter le séminaire de la Fondation de la Maison des sciences de l’Homme le 22 novembre en raison de l’invitation faite à Hubert Védrine.
Moins de 24 heures après la désignation de Martin Fayulu comme candidat commun de l’opposition à la présidentielle, Félix Tshisekedi et Vital Kamerhe retirent leurs signatures de l’accord de Genève, mettant fin à l’union de l’opposition.
Martin Fayulu a été désigné candidat commun pour représenter l’opposition à la présidentielle du 23 décembre. Un choix par défaut, alors que le ticket Félix Tshisekedi-Vital Kamerhe, était donné favori. Explications.
Un rapport édifiant et glaçant d’une ONG britannique met en lumière l’utilisation de la torture pour écraser la contestation en République démocratique du Congo (RDC). Des pratiques ultra-violentes réalisées en toute impunité.
Pour avoir alerté sa hiérarchie sur le risque d’extermination des Tutsi du Rwanda, le général Jean Varret avait été limogé du ministère de la Coopération en 1993, un an avant le génocide. Il revient sur cet épisode dans un livre de souvenirs et une interview exclusive réalisée par Jean-François Dupaquier pour Afrikarabia.
A l’approche de la présidentielle prévue le 23 décembre, majorité et opposition se mettent en ordre de bataille. Mais le paysage politique s’est profondément modifié avec l’exclusion de deux figures clé de l’opposition, alors que le camp présidentiel accélère sa mobilisation.
A moins de deux mois d’élections générales sous haute tension en République démocratique du Congo (RDC), l’association Journaliste en danger (JED) estime que « chaque jour des centaines de journalistes risquent la mort ou la prison à cause de leur métier d’informer. »
La majorité présidentielle a présenté son candidat pour les élections de décembre devant plus de 50.000 personnes à Kinshasa. Une forte mobilisation qui reste à relativiser.
A moins de deux mois de l’élection présidentielle, l’opposition a manifesté ce vendredi contre la machine à voter et le fichier électoral, mais sans l’UDPS. Ce qui fragilise un peu plus l’unité d’une opposition au bord de l’implosion.