Le 5 mai 2025, le Gabon s'interroge : Henri-Claude Oyima peut-il réellement être super-ministre tout en dirigeant BGFI Bank ? Cette double casquette au sommet de l'État soulève des doutes légitimes.
En ce 1er- Mai, célébré universellement comme la Journée mondiale des travailleurs, au-delà des manifestations et défilés protocolaires, subsiste une réalité préoccupante : les conditions laborieuses et souvent précaires que connaissent encore nombre de salariés à travers le monde.
La Côte d’Ivoire marche-t-elle vers une présidentielle tronquée, verrouillée par des exclusions arbitraires et une liste électorale aux allures de fourre-tout ?
L'onction présidentielle gabonaise du 12 avril vient de consacrer l'ancien chef de la junte militaire, Brice Clotaire Oligui Nguema, avec un score plébiscitaire dépassant les 90 %. Ce résultat sidérant interpelle sur la quintessence même du changement politique dans cette nation d'Afrique équatoriale.
Oligui Nguema promet au Gabon renaissance et prospérité, mais son "nouveau Gabon" masque une réalité implacable : recyclage du pouvoir sous-vernis civil.
Derrière les ambitions présidentielles de Gninga Zenaba se dissimule une candidature creuse, où l'indigence programmatique le dispute à un opportunisme politique à peine voilé.
Deuxième candidature pour Axel Stophène Ibinga, qui après s’être mesuré à Ali Bongo Ondimba en 2023, se présente aujourd’hui contre Brice Clotaire Oligui Nguema, le chef de la transition post-coup d’État.
Alain Claude Bilié Bi Nzé, ancien Premier ministre sous Ali Bongo Ondimba, se présente comme candidat indépendant à l'élection présidentielle du 12 avril 2025.