Pour que vive la souveraineté populaire !

Au secours la démocratie !

Une « erreur » ou « une omission par erreur », invoque Jean-Paul Delevoye Haut-commissaire aux retraites pour expliquer la non-mention de sa fonction d'administrateur au sein de l'Institut de formation de la profession de l'assurance (IFPASS) dans sa déclaration d’intérêts.

Quand la crise politique se conjugue avec la crise sociale

Les atteintes répétées à la liberté d’expression, fondement de l’humanisme, de la République et de la démocratie, au nom d’intérêts plus ou moins réels de telle ou telle communauté sont en train de déboucher sur un torpillage.

Le monde est fou, la planète brule. Et, comme toujours devant les dangers et les peurs, se dressent des prophètes, chacun porteur de la solution miracle. Apparemment, rien ne nouveau sous le soleil. Tous les apprentis dictateurs ont toujours expliqué qu’ils demandaient le pouvoir absolu pour résoudre des dangers auxquels le peuple ne sait pas faire face.

Si j’écris et envoie ce texte, c’est pour faire partager un besoin de purification qu’il est difficile d’assumer en solitaire.

La vidéo ci-dessous en attendant la rencontre d'aujourd'hui aux Tuileries pour commémorer la République et exiger notre souveraineté.

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Il y a 227 ans, le 21 septembre 1792, la monarchie était abolie en France. Cet évènement mettait en lumière, pour la première fois dans ce pays, le rôle politique du suffrage universel et la souveraineté populaire.

Ces images illustrent la question de la démocratie, du peuple et de la souveraineté populaire.