Bin Jamin, ça signifie "sans terre" en Hindi, et comme je loue mon logement... De Delhi à Genève en passant par Paris, Bruxelles et désormais la Haute Savoie, il s'agit d'analyser la politique et la mondialisation…
sous toutes leurs coutures, sous l'angle d'un écologiste, afin d'envisager comment ici et là-bas, celles-ci ont des impacts sur nos vies, notre rapport au monde, notre empreinte écologique, etc. Comment imaginer encore le monde de demain à l'aune de tous les signaux alarmants d'aujourd'hui? Peut-être qu'il faut d'abord et avant tout mettre en pratique la fameuse maxime de Gandhi: "Be the change you want to see in the World".
La théorie du Donut fait des émules dans de grandes villes européennes comme Amsterdam, Genève ou encore Bruxelles, où Barbara Trachte, Secrétaire d'Etat à la Région de Bruxelles-Capitale chargée de la Transition économique et de la Recherche scientifique, l’a mis en œuvre depuis son arrivée aux manettes en 2019. Entretien :
Les chasseurs sont particulièrement choyés en Auvergne-Rhône-Alpes, où ils ont reçu récemment une belle déclaration d’amour par courrier de la part de Laurent Wauquiez. Au-delà de la caricature, cela illustre parfaitement le projet politique plus qu’aventureux du président de la région.
L’élection d’Eric Ciotti à la tête des Républicains n’est que le dernier épisode de la dérive idéologique de la droite française, qu’on observe aux premières loges depuis les rangs de la région Auvergne-Rhône-Alpes dirigée par Laurent Wauquiez, surnommé le « Seigneur des panneaux ».
Les écologistes trouvent souvent leur principal électorat au cœur des grandes villes. Tant et si bien qu'ils sont régulièrement qualifiés par leurs adversaires de « bobos des villes » déconnectés des zones rurales. Une nouvelle génération d’élu.e.s veut donc relever le défi de porter davantage l’écologie dans les territoires ruraux. A l’instar de Marie Pochon, nouvelle députée de la Drôme.
Sur fond de sécheresse historique et de polémique autour des usages de l’eau en Haute-Savoie, les travaux d’agrandissement de la retenue collinaire de la petite station d’Hirmentaz continuent dans une relative discrétion estivale. C’était sans compter sur la visite inopinée de ce dimanche.
Les derniers jours qui viennent de s’écouler sont venus me confirmer une intuition : il va falloir apprendre à désobéir sans complexe face à un système politique non seulement totalement à côté de la plaque face aux immenses enjeux de la préservation du vivant et du changement climatique, mais qui plus est de plus en plus complice des forces de l’argent et de la réaction.
La 23e édition des assises européennes de la transition énergétique s’est ouverte à Genève mardi 31 mai. 3 jours d’échanges intenses en présence de multiples acteurs œuvrant en faveur de la transition, ancrés sur certains territoires emblématiques comme le Grand Genève. Au menu de cette édition, comment faire mieux avec « moins », ou comment faire rimer sobriété avec gaité. Tout un programme !
Malgré le désarroi face aux résultats prévisibles de cette calamiteuse présidentielle, il s'agit de préparer tout de suite la possible victoire des législatives en suivant 2 chemins limpides : celui de l'union préalable de tout l’arc humaniste sur un projet de justice écologique, sociale et démocratique radicale, et celui de la mise en veilleuse des égos de chacun, en premier lieu le mien :
Pour la 3e fois de notre histoire récente, la dynastie Le Pen est aux portes de l’Elysée et plus que jamais l’extrême droite a contaminé les esprits. Beaucoup en portent la responsabilité, dont l’actuel locataire de l’Elysée. Il est grand temps de mener à nouveau la bataille culturelle de l’imaginaire au lieu de se contenter des urnes.
La pandémie a mis crûment à jour cette réalité : notre système de santé est en danger. C’est ce qui ressort de la dernière Commission d’enquête sénatoriale sur l’état de l’hôpital public. En ce 7 avril, journée mondiale de la santé, réaffirmons la nécessité de sauver nos hôpitaux et plus largement notre système de santé.