La sécheresse entraîne des conséquences disparates sur notre territoire. Plusieurs exemples montrent qui se passent des choses. En France et ailleurs dans le monde. Que font nos décideurs politiques ? Quelles actions concrètent mettent-ils en oeuvre ?
En France, la chasse aux fraudeurs n'est pas égale. La fraude sociale ou aux prestations sociales est présentée comme étant un fléau de première importance, alors qu'une analyse publiée par l'association ATTAC le 30 mars dernier, démontre, chiffres à l’appui, l’impact incomparable de la fraude fiscale sur l’économie française, l’environnement et la démocratie.
Ce samedi à Strasbourg comme dans d'autres villes en France, nous avons manifesté pour le droit des femmes à pouvoir disposer de leur corps. Une mobilisation solidaire qui fait écho avec la décision de la Cour suprême des États-Unis de révoquer le droit à l'avortement dans le pays, donnant la possibilité aux États de l'interdire. En France, ce droit est menacé et des députés veulent le constituer.
Un problème franco-français ? Pas sûr ! La pression des lobbies du BTP et des entreprises concessionnaires ? Certainement ! En attendant, ce qui paraît être une évidence dans les choix stratégiques de nos décideurs politiques en matière de transports et gestion du trafic routier, n'est pas mis en oeuvre et c'est l'urgence climatique qui n'est pas prise en considération.
"[...] pour la petite histoire, ce pin est vieux de plus de 300 ans. Il se trouve dans la ville de Manisa en Turquie. Le bâtiment a été construit dans le respect de ce arbre…"
Jeudi 23 juin, l’Inde a subi des chaleurs de 43°C. C’est une canicule qui arrive très tôt pour des habitants très dépendants de l’arrivée de l’eau dans leur village. Pour les ravitailler, ils dépendent d'un train de 40 wagons qui achemine deux millions de litres d'eau. Et en France ?
Samedi, météo France nous prévoit le pic des températures en Alsace avec un thermomètre à plus de 40°. Une situation précoce pour une mi-juin. Le GIEC alerte sur la situation climatique depuis des années. Peut-on croire Emmanuel Macron quand il dit nous avoir entendus, qu'il a besoin d'une majorité et qu'il mettra tout en oeuvre pour l'écologie ? La réponse est non et l'espoir passe par la NUPES.
Écrire un long texte pour ne finalement rien dire. Voilà la performance du groupe "Faire ensemble Strasbourg" présidé par la socialiste Catherine Trautmann. Un texte que l'élue strasbourgeoise présente sur son compte politique Facebook. Ce texte est une prise position pour le second tour des législatives.
La droite alsacienne attaque la NUPES sur la question du droit local et le concordat. Elle veut profiter de la méconnaissance d'une partie de la population pour gagner des voix lors du 2e tour des législatives. Sébastien Mas, candidat de l'union de la gauche sur la 3e circonscription du Bas-Rhin a été interpelé à plusieurs reprises lors de la campagne du 1er tour. Il remet les pendules à l'heure.