Les messages choqués des dirigeants socialistes ce mercredi matin, suite à l'interview de Manuel Valls dans lequel il annonce son ralliement à Emmanuel Macron m'ont mise mal à l'aise. J'ai essayé de comprendre pourquoi.
Depuis que nous avons lancé les discussions autour de la campagne #La18citoyenne, à presque chaque réunion, je parle des violences contre les enfants. Je dis aux militant.e.s que l'un des éléments qui m'a convaincue de me présenter aux législatives, c'est l'idée qu'une fois élue (si nous gagnons !), je ferai avancer la loi et les mentalités sur ce sujet.
Des militant.e.s écologistes puis des communistes m’ont proposée d’être candidate aux législatives, à Paris, dans la 18ème circonscription de Paris, celle dans laquelle se présente (entre autres) Myriam El Khomri, à l'origine de la Loi Travail.
J'ai ce vendredi souligné sur les réseaux sociaux le (très) peu de femmes invitées à intervenir lors d'un colloque organisé par la Fondation Jean Jaurès autour de la culture. Réaction immédiate : «t'exagères, ils font plein d'efforts, il faut regarder l'ensemble des colloques». Ah ? Allons-y.
J'ai écouté le discours de candidature de Manuel Valls mardi soir. Le décalage entre la parole prononcée et la réalité était total. Comme si les mots n'avaient plus besoin d'avoir un sens. En prononçant ce discours hors sol, Manuel Valls a abimé un peu plus la politique et sa capacité à transformer nos vies (encore).
J'ai écouté le discours de candidature de Manuel Valls mardi soir. Le décalage entre la parole prononcée et la réalité était total. Comme si les mots n'avaient plus besoin d'avoir un sens. En prononçant ce discours hors sol, Manuel Valls a abimé un peu plus la politique et sa capacité à transformer nos vies (encore).
Samedi 26 novembre, j'étais invitée à la rencontre "Carrefour des gauches" organisée à Bondy par Martine Aubry. Je participais à une table tonde sur les fractures sociales. L'occasion de souligner le décalage entre le discours de l'égalité, porté par la gauche, et la réalité. Et d'interpeller les responsables politiques de gauche sur leur courage (ou plutôt leur manque de courage).
Osons la politique !, mon premier livre, paraitra le 2 novembre. Illustré par Camille Besse, il s’adresse aux jeunes, aux ados, citoyennes et citoyens de demain. Les esprits aiguisés remarqueront que le timing est parfait... :-)
J'ai rejoint début septembre la primaire de l'écologie pour faire la campagne de Cécile Duflot. Nous avons perdu. Au lendemain de la défaite, quelques éléments de réflexion, encore à chaud.