On entend souvent dire que nous sommes uniques. Je n’en suis pas sûre. Au terme d’une vie et même avant, il est probable que nous ayons croisé la totalité des visages possibles, et donc le notre...
Avec l’arrêt des activités le temps nous appartient. Vivre simplement coûte infiniment moins cher que de courir après l'accumulation de bien secondaires. La vie est notre bien le plus précieux. Pardon de rappeler une évidence.
Chelsea Manning est libre mais sous le poids d'une dette à l’état américain pour avoir refusé de parler, elle doit 256.000 $. La cagnotte de soutien est en ligne. Nous pouvons montrer aux grandes puissances ce qu'est le vrai pouvoir : le rassemblement des citoyens de tous pays pour la liberté de savoir. Et de révéler ce qui est d'intérêt commun. Chelsea Manning, figure contemporaine des libertés.
Les rapports d'audience de Craig Murray sont trop populaires dans cette guerre pour la libération de Julian Assange qui se déroule sur Twitter. L'outil de ses soutiens, la toile, est l'ennemi du tribunal de Woolwich. Plus ce tribunal sera vu et dénoncé, plus la cause de Julian Assange aura une chance d’aboutir. Ce procès pipé a un talon d’Achille : la communication.
L'ex-ambassadeur britannique, lanceur d'alertes et journaliste clarifie les conditions d'adoption des traités d'extradition entre les pays membres du Commonwealth et les pays tiers, en l'occurence les Etats-Unis. Des informations indispensables pour comprendre comment le tribunal de Woolwich tente de rendre caduc le traité d'extradition, à la défaveur de Julian Assange.
Le journaliste britannique rédige ses billets la nuit pour témoigner de la farce du procès de Woolwich. Nous apprenons qu'au Royaume-Uni un traité d'extradition passé avec des pays tiers - ici les Etats-Unis - n'a aucune valeur juridique selon la loi anglaise. Quelle sera la profondeur de la tombe que les fonctionnaires de justices britanniques réservent à la démocratie et au journalisme ?
L’ex-ambassadeur et journaliste britannique, présent au tribunal de Woolwich, livre une analyse extrêmement fine de ce qui se joue en ce moment sur le plan humain entre les fonctionnaires du tribunal et les acteurs de la défense proche de Julian Assange. Pour la juge Baraitser tous les coups sont permis. Ces faits se passent ici, en Europe, dans une démocratie libérale.
L’ex-ambassadeur et journaliste britannique était présent au tribunal de Woolwich. Il livre un billet impitoyable sur ce premier jour d'audience et sa couverture médiatique.
Aujourd'hui 24 février 2020 commence le procès d’extradition aux Etats-Unis de Julian Assange #JulianAssange #FreeAssangeNOW #FreeAssange #DontExtraditeAssange #AssangeCase
Le pari de suivre sa voie en ménageant ses forces pour les garder entières, il y a quelque chose d'indispensable à cela. Indissociable de nos combats personnels, le changement de société qui nous attend nécessite d'avancer malgré la peur, malgré le noir, la violence et l'incertitude... Tout ce que l'on sait est que le chemin nous fait face, il n'est pas très accueillant, mais nous sommes nombreux.
Aujourd’hui je suis en convalescence des fêtes. Entre bains chauds et marches, je tente de reprendre les choses où je les avais laissées, de rassembler mes notes, mes projets... Dans un moment de calme je lis, pour garder un œil sur les sujets que je suis depuis quelques mois : les grèves, Julian Assange, les abus sexuels ou la toute puissance des dominants fabriqués par l’Occident...